1. Cousin-cousine


    Datte: 08/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Inceste / Tabou poilu(e)s, vacances, amour, cérébral, revede, BDSM / Fétichisme confession, Auteur: Lacan, Source: Revebebe

    ... connaissais maintenant cette raie des fesses si désirable.
    
    Et surtout ce ventre un peu bombé de mère de famille, ce ventre lisse au bas duquel je savais maintenant situer une magnifique toison sombre, une vision qui allait revenir sans cesse, pendant des années, dans mes moments d’excitation et de plaisir.
    
    Il y avait autre chose. Une obsession m’avait tourné toute la journée dans la tête. Profitant de ce séjour chez elle, je pouvais aller plus loin dans la découverte de ses secrets intimes. En fin de matinée, les cousins devaient s’absenter pour faire quelques courses. Je déclinai l’offre de les accompagner, prétextant une légère migraine. Resté seul dans la maison, pourquoi ne pas oser l’indiscrétion de farfouiller dans les recoins privés de la belle cousine ?
    
    Après avoir attendu, fébrile, le temps nécessaire pour être sûr qu’ils n’allaient pas soudain revenir, pour un oubli quelconque, le feu aux joues, je me décidai à lancer mon exploration.
    
    Le trésor se trouvait dans sa salle de bains, dans laquelle je pénétrai le cœur battant comme dans le saint des saints de son intimité, tel l’archéologue s’introduisant dans le tombeau inviolé sous la pyramide. Il y flottait encore les effluves de son parfum, conférant au lieu une valeur sensuelle. Sur le dossier de la chaise, la fameuse chemise de nuit arachnéenne, vue le matin même. Et par terre, jetée négligemment, une culotte, que je m’empressai de ramasser pour la porter à mon visage et percevoir la douceur de la soie ...
    ... et de la dentelle qui la bordait.
    
    Et la chemise de nuit ? M’en emparant avec les précautions à prendre avec un objet sacré, j’en constatai à nouveau l’extrême transparence qui lui donnait son puissant côté érotique. Et pourquoi ne pas la revêtir moi-même pour mieux en juger ? C’était une folie, mais j’avais trop envie de la commettre.
    
    Tremblant d’émotion et de peur de me faire surprendre ainsi, je me déshabillai entièrement, retirant même mon slip au-devant déjà trempé. Nu, j’enfilai alors la chemise de nuit pour contempler mon image dans le grand miroir qui habillait le mur à côté de la baignoire. Le fin tissu ne cachait rien de mon corps jeune et mince, avec ma propre toison que j’imaginais alors être à nouveau la sienne.
    
    Au comble de l’excitation, j’esquissais des déhanchements lascifs et, oubliant toute prudence, allai jusqu’à donner des coups de reins obscènes, frottant mon membre raidi contre le voile de tissu, l’imprégnant de l’abondante sécrétion de mon désir.
    
    Et là, je fis le constat que le pouvoir érotique de la transparence de la chemise de nuit me faisait désirer mon propre corps, dans un délire bisexuel et narcissique. Retroussant le bas du vêtement au-dessus de ma taille pour m’exhiber au miroir, je commençai à me caresser ostensiblement avec l’intention de me procurer le plaisir en face à face avec moi-même…
    
    Soudain j’entendis le bruit de la voiture sur le gravier du jardin, vite, il fallait battre en retraite ! De manière précipitée, je me défis ...