1. Perte de clef et jeune voisine


    Datte: 07/10/2020, Catégories: fh, hplusag, extracon, voisins, fépilée, strip, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Discret et élégant, Source: Revebebe

    ... sommes loin des spéculations métaphysiques de Malévitch. Anne-Cécile me suce avec gourmandise. Pendant de longues minutes je me laisse aller au rythme de ses caresses. Elle alterne les engloutissements avec les câlineries de la pointe de sa langue.
    
    — À vous maintenant ! Venez !
    
    Anne-Cécile s’est jetée sur le canapé. Avec une totale impudeur, elle a glissé son bassin sur le bord du siège et ramené vers sa poitrine ses jambes qu’elle retient à l’aide de ses mains passées derrière ses genoux. Entre les cuisses écartées je découvre, offert, béant, son sexe humide. Comme une fleur tropicale - je sais que l’image tient du cliché, mais je n’en ai pas trouvé d’autre aussi évocatrice – les lèvres se sont épanouies comme des pétales sous le coup du désir. Son sexe est entièrement rasé ce qui rajoute une touche de lubricité et d’indécence animale à son offrande. Je me jette à genoux et enfonce mon visage entre ses cuisses. Elle pousse un long feulement rauque de satisfaction. Mes lèvres s’emparent des siennes comme un jeune chiot assoiffé. Ma langue s’enfonce dans les chairs roses nacrées, remonte vers le bouton qui saillit entre les nymphes. Je bois, j’avale, je me désaltère des sucs qui suintent de l’orifice. Je descends vers le périnée puis l’œil plissé qui palpite. Anne-Cécile a poussé son bassin vers ma bouche.
    
    — Oui, là ! J’adore !
    
    Je n’ai pas besoin de cette indication pour comprendre ce qu’elle souhaite. Ma langue caresse lentement l’anus, le cerne puis, par lente ...
    ... poussée, joue avec l’élasticité du muscle. Je sens qu’elle pousse avec son bassin. Je remonte vers son ventre et cède le terrain à mes doigts. Pendant que je joue avec le bouton, mes doigts caressent, palpent puis se frayent un chemin entre les fesses.
    
    — Oh ! Oui, oui, oui…
    
    Anne-Cécile ne parle plus, elle semble miauler, roucouler ; ses propos ne sont plus audibles.
    
    — Venez maintenant, je veux vous sentir en moi. Prenez-moi, vite. Je veux jouir, vous faire jouir. Je n’en peux plus.
    
    La demande est impérieuse et, en même temps, suppliante. Je me redresse, pose mes genoux de chaque côté de ses hanches et présente mon sexe à l’entrée du sien. Ses chevilles sont posées sur mes épaules. Elle s’accroche à mes bras.
    
    — Vite ! Maintenant !
    
    Plongeant mes yeux dans son regard écarquillé, je prends mon sexe et remonte les lèvres suintantes avec la pointe du gland. Je m’attarde sur son bouton. Elle me sourit, ferme les yeux.
    
    D’une lente et longue poussée des reins je m’enfonce entre les chairs et me plante au fond de son ventre. Un frisson parcourt tout son corps. Les mollets se crispent autour de mon visage. Elle pousse un long souffle et nos corps se mettent en mouvement. Le rythme d’abord mesuré, s’accélère à chaque poussée jusqu’à perte de contrôle. Le salon se remplit du souffle de nos bouches, du claquement de nos chairs, de l’odeur de nos corps.
    
    Pendant de longues minutes nous partageons le plaisir de chaque enfouissement. Je vois le visage d’Anne-Cécile se ...
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