1. Perte de clef et jeune voisine


    Datte: 07/10/2020, Catégories: fh, hplusag, extracon, voisins, fépilée, strip, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Discret et élégant, Source: Revebebe

    ... ressaisis et avec un naturel apparemment détaché et maîtrisé. Je lui réponds tout le bien que je pense du Tanga de dentelle noire, du soutien-gorge du même tissu parsemé de fleurs de pommiers rose fuchsia.
    
    — Mais tout autant que l’ensemble, c’est plutôt le modèle que je trouve séduisant.
    
    Après cette scène d’effeuillage, je serais surpris qu’elle s’offusque de cet aveu.
    
    Je me lève et me plante devant elle, soutenant son regard. Je crois que nous nous sommes compris, mais les secondes qui précèdent un premier baiser sont un délice dont je ne veux pas me priver. Je tends mes deux mains vers son cou et glisse mes doigts sur sa nuque. Elle baisse lentement la tête, comme soumise.
    
    — J’en ai tellement envie… Vous savez, je me sens tellement seule et ce déménagement m’a épuisée. J’avais envie des bras d’un homme et, si je ne vous avais pas rencontré sur le palier, je crois que c’est avec mon joujou que j’aurais passé la soirée.
    
    Sa voix est plus basse, plus chaude. Un aveu complice. Elle relève le visage, écarte une mèche d’un léger coup de tête. Ses lèvres sont légèrement entrouvertes, je sens son souffle sur mon visage qui s’est rapproché lentement.
    
    Notre premier baiser est long, fougueux. Nos lèvres se mêlent, s’avalent, se sucent avec gourmandise. Anne-Cécile a collé son ventre contre le mien. Elle a jeté ses bras autour de mon cou. Je sens sa poitrine s’écraser sur ma veste. Mes doigts glissent vers l’agrafe du soutien-gorge. Elle décale légèrement sa poitrine ...
    ... de la mienne pour permettre au tissu de glisser… C’est maintenant elle qui s’attaque à ma veste puis à ma chemise, lesquelles rejoignent sa jupe et son chemisier avec une rare vitalité. Ses doigts s’attaquent avec la même ardeur gourmande à la ceinture de mon pantalon.
    
    Je la laisse prendre possession de moi ou plutôt de me déposséder du peu qui nous sépare. Le pantalon, le caleçon, les chaussures, les chaussettes s’évanouissent. Elle s’est redressée et glisse elle-même ses doigts sous l’élastique du tanga.
    
    Je pense que nous avons sauté plusieurs leçons.
    
    J’ai à peine eu le temps d’admirer ses formes somptueuses qu’elle s’est recollée à moi avec voracité, reprenant ma bouche tandis que sa main se glisse entre nos corps pour se saisir de mon sexe. La caresse est un peu brutale, mais pas désagréable. Sa main descend et remonte lentement mais avec fermeté.
    
    Sans lâcher sa proie, Anne-Cécile s’est agenouillée.
    
    — Attendez, laissez-moi faire. J’ai une faim de loup.
    
    À peine s’est-elle tue, qu’elle embouche mon sexe avec avidité. Les lèvres viennent pratiquement buter sur mon ventre. Quelle rapacité ! Les joues, la langue, le palais, les dents, la gorge, c’est toute sa bouche qui m’avale, me suce, me mordille, m’aspire, m’engloutit… le tout avec un art rare et consommé. Je me laisse aller à la caresse goulue. Inconsciemment, je repense à l’interview de Jean Clair dans "Le Monde" de cet après-midi :
    
    Si l’on peut parler d’art de la fellation, le voilà incarné. Nous ...
«1...3456»