1. L'autre sexe au naturel. (5)


    Datte: 06/10/2020, Catégories: Transexuels Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... masturbe au-dessus de leur visage. Elles attendent leur pitance. Ma jouissance arrive avec des jets de semence qui s’agglutinent sur leur joli minois. Elle se lèche, s’embrasse; et c’est trempé comme des souches que nous nous lavons sous la pluie des arroseurs. On rigole, on joue, on se tripote, on se caresse.
    
    — Mais tu ne débandes pas ? demande Emma.
    
    — En plus d’avoir été dotée d’un membre hors norme, elle a hérité d’une paire de cacahuètes impressionnantes.
    
    Elles s’agenouillent et prennent chacune une couille dans la main.
    
    — Tu parles de cacahuètes, je dirai d’œufs de poules, oui...
    
    Je décide de bouger et de sortir de la zone humide. Je m’appuie sur la table et écarte les jambes. Je me branle lentement. Elles approchent et reprennent leur investigation. Elles m’aspirent, me gobent les valseuses, quel pied ! Je les laisse s’amuser.
    
    — Les filles, vous allez me faire juter.
    
    Elles se regardent et se mettent à rire. Emma me gobe le gland, joue avec mon frein, sensibilisée par mon Prince, s’amuse avec mon méat urinaire. Juju continue à me lécher les couilles. Je ne tiens plus et je gicle directement dans la bouche d’Emma. Elle se gave de mon nectar et il y a la dose dont Juju vient récupérer son dû. Elles s’échangent à plusieurs reprises ce doux liquide visqueux avant de déglutir. Elles se relèvent et m’embrassent. Je suis au paradis.
    
    Nous invitons Emma à partager notre couche.
    
    A mon réveil, j’ai une vue digne d’un film érotique. Emma est couchée sur le ...
    ... ventre de Juju. Je suis certaine qu’elles ont joué encore un petit moment. Je me lève le plus discrètement possible, et vais à la douche. Je m’essuie, ne me maquille pas et je vais vers la cuisine. Cela sent bon le café et les viennoiseries. Je m’avance discrètement, et je vois la jolie petite black. Gladys est là ! Je m’approche tout doucement.
    
    Elle est belle avec ses grosses fesses, ses larges hanches, ses cuisses, son dos musclé et son cou gracile.
    
    — Bonjour, Mademoiselle Gabrielle, votre ombre vous a trahi.
    
    Sans se retourner, elle me tend la main. Elle m’attire dans son dos. Je lui prends ses mamelles à pleines mains. Elle penche la tête dans mon cou et elle me sourit. Je l’embrasse d’un baiser passionné. Elle me pousse à l’aide de son gros fessier et pousse la desserte vers la terrasse.
    
    — Allez, viens, on va déjeuner.
    
    On s’installe face à face. On parle de sa vie, de son sauvetage grâce à Charles. Elle a 35 ans, j’en reste bête. Je lui en donne 10 de moins. Elle rajoute qu’elle a deux filles : une, de 20 ans, Abi; et l’autre, âgée de 18 ans, Abou, qu’elle les a eues très jeune avec un vieux de son village au nord de Dakar. Après sa mort, elle est venue se réfugier en France. D’ailleurs, m’annonce-t-elle, je vais les rencontrer. Elles sont là. Effectivement, elles arrivent sans se soucier de moi et plongent dans la piscine. Abi, l’aînée, est une réplique de sa mère, par contre Abou est une jeune fille qui sort à peine de l’adolescence, grande, filiforme et ...