1. J'installe une application de rencontres, juste pour voir, par curiosité !


    Datte: 05/10/2020, Catégories: En solitaire, Auteur: Fleurdencre, Source: Hds

    ... dans son jeu. Si je répondais « oui », je cassais toute la tension qui commençait à me faire des fourmis dans le bas ventre.
    
    « - Dis-moi où.
    
    - Je déposerais mes mains sur tes fesses, et je les écarterai pour embrasser ta toute petite rondelle toute serrée… »
    
    J’étais furieusement gênée et offensée qu’il parle de moi comme ça. Il ne me laissa pas le temps de réagir.
    
    « - Je ne me contenterais pas de l’embrasser, je voudrais te lécher le cul lentement, longuement, et y pénétrer mon sexe. Si ça ne glisse pas assez, je demanderais à ma copine de m’aider à te lubrifier.
    
    - Je ne sais pas comment tu fais ni ce que tu m’as fait, mais je dois admettre que je commence à être excitée. »
    
    Il m’a fallu du courage pour me le dire, l’écrire et l’envoyer. C’était fait, pas de retour en arrière possible à présent. Il fallait aller au bout de la conversation.
    
    « - Parfait… J’aimerais que tu te touches maintenant. Pour moi.
    
    - C’est mouillé... Tu pourrais m’aider. Tu voudrais bien m’aider ?
    
    - Dis-moi comment.
    
    - Dis-moi comment tu me prendrais.
    
    - Oh ma belle… Personne ne te baiserait comme je le ferais. J’aimerais tellement que tu sois là, à te masturber devant moi. Tu t’occupes de ton minou, tu me laisses m’occuper de ton cul. Et tu ne pourras pas y changer quoi que ce soit, je t’empêcherais de te retourner. Alors imagine-toi les mains ...
    ... attachées. »
    
    J’avais chaud. Je plongeai ma main dans ma culotte pour passer le doigt entre mes lèvres. Chaud et humide. Je pouvais facilement glisser vers ma fente ou remonter vers mon clitoris. Je m’activais pendant qu’il continua.
    
    « - Je te ferai tomber en avant pour mieux te dévorer. Tu ne me regarderais pas, parce que ta tête serait collée par terre, la joue pressée contre le sol, il n’y a que moi qui te ferais bouger. Quand tu seras assez humide à mon goût, je te prendrai. La douleur ne sera que brève, elle se transformera rapidement en plaisir, crois-moi. Tu gémis fort, je le sais. Si tu as honte, ça me rendra encore plus fou…
    
    Bébé ? Tu es là ?
    
    - Je viens de jouir. »
    
    Je l’imaginais en train de sourire derrière son écran. Ça faisait bien une heure et demie qu’il me chauffait, et ça avait abouti. La petite prude venait de s’effacer au profit de la séductrice, de la dévergondée. Il avait réussi.
    
    « - Qu’est-ce que tu vas faire maintenant ? La plupart des filles me bloquent quand elles ont eu ce qu’elles voulaient. Utilise-moi jusqu’au bout tant que tu m’intéresses… »
    
    Je lui dis merci pour tout, et bonne nuit, sans rien promettre.
    
    A l’heure où j’écris ces mots, je reçois de nouveaux des messages de lui qui me demandent comment je vais aujourd’hui, et si je suis excitée. Je crois que mon nouveau tuteur a encore des choses à m’apprendre… 
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