1. Kristine 7 Une tentative pour devenir raisonnable...


    Datte: 05/10/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Kristine, Source: Hds

    ... vous plaît….
    
    -Je vous ai demandé de vous déshabiller, Kristine. J’ai le droit de vous le demander, et vous devez m’obéir. Vous faites partie du marché. Si votre employeur veut obtenir ce qu’il exige, vous devez vous donner à moi.
    
    -Mais je ne suis pas…
    
    -Tournez-vous, Kristine. Regardez vous dans la glace. Vous voyez ce que je vois?
    
    Vraiment, je ne voyais pas ce qu’il voulait dire. Il voulait se la jouer à la 50 nuances de Grey. Ce genre de type devait se la péter sur ce genre de conneries. Et son pseudo chantage ne me faisait ni chaud, ni froid. Il voulait me baiser, un point c’est tout. Je n’étais ni hostile, ni consentante. Après tout, je pouvais bien me payer un partie de jambes en l’air avant de revenir à mon quotidien.
    
    J’ai senti son souffle dans mon cou, il a commencé à défaire les boutons de mon chemisier. Ses gestes étaient précis et son corps musclé quand mon dos a touché sa poitrine pour lui signifier mon renoncement. On se serait cru dans un mauvais téléfilm. Je sentais aussi son sexe qui bandait contre mes fesses. Il a sorti mes seins de mon soutien gorge et a pétri ma lourde poitrine. Il le faisait bien, et mon image dans la glace me renvoyait l’image d’une femme mûre s’encanaillant dans un Hôtel avec un amant de passage. Ses doigts étiraient mes bouts de seins et je sentais l’excitation monter malgré tout.
    
    - Plus fort, caresse-moi plus fort.
    
    Ses doigts m’étiraient les bouts de mes tétons à la limite de la douleur et c’est ce que voulais. Il ...
    ... a tiré mes bras en arrière m’a plaqué le visage contre le miroir. Il a introduit deux doigts dans ma bouche et les a fait venir d’avant en arrière comme si c’était une bite. Ma langue s’entourait autour de ses phalanges. Parfois je fermais les yeux et alors j’entendais les bruits de succion, parfois je les ouvrais et je voyais mon visage dans la glace et ma bouche qui se déformait autour des doigts qui me fouillaient.
    
    -Tu ne fais plus la bourgeoise mijaurée maintenant. Tu vois, tu es une vraie salope.
    
    Si j’appréciais la situation de contrainte, ces paroles méprisantes étaient de trop. Elles sonnaient faux. Il a fait glissé mon pantalon et ma culotte le long de mes jambes. Il s’est assis sur le lit a ouvert sa braguette et m’a obligée à le sucer. Son sexe n’était pas très long ni épais mais il était raide et vigoureux. Je l’ai pris dans ma bouche et je l’ai sucé du mieux que je pouvais. Je m’aidais des mains pour le branler en même temps. Je ne voulais pas que ça s’éternise.
    
    -Tu es une bonne suceuse, on dirait que tu as fait ça toute ta vie...
    
    Des paroles en carton venues des pires pornos. Vraiment ce type était nul. Je m’activais du mieux que pouvais, à la limite de l’écoeurement. Il m’a prise par les cheveux pour accéléré le rythme et au moment final il a retiré sa queue de ma bouche pour éjaculer quelques gouttes de sperme tiède sur mon visage. Il a quitté la pièce sans un mot et sans s’être occupé de moi. C’était mieux ainsi. J’ai pris une longue douche pour ...