1. La vieille fille


    Datte: 04/10/2020, Catégories: Première fois Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... Lachez moi!" Je vous supplie de me lacher maintenant, que j'aille me laver.
    
    "Pourquoi? Pourquoi voulez vous vous sauver si vite? Je vois votre regard paniqué, cela m'amuse, je sais ce que vous voulez faire: vous ruer à la salle de bains et vous laver, la tout de suite. Mais moi je ne veux pas, je suis encore en vous, le sexe raide, à peine débandé, suffisemment dur pour se maintenir entre vos chairs chaudes. Je vous retiens, excité encore par vos tortillements de hanches. Je sens à votre regard que vous allez me supplier de vous laisser, mais il est trop tard chère amie! Sentez vous la cavalcades folles des spermatozoïdes à l'assaut de vos ovules? Il suffit de quelques minutes. Patience, restez la encore un peu et l'un d'eux surement saura atteindre son but pour vous engrosser.
    
    Je ris intérieurement de votre panique, vous l'avez cherché non? Vous avez ce que vous vouliez, vous allez ètre riche désormais, riche et enceinte, c'est bien le but n'est ce pas? C'est bien pour ça que vous avez fait venir un mâle dans votre lit, toucher le pactole du tonton riche comme crésus.
    
    Je voudrais le supplier de me lâcher, je veux le repousser de toutes mes forces mais il ne bouge pas, il est lourd, de plus en plus lourd car mes forces déclinent. Je croise son regard, il a quelque chose d'ironique dans l'oeil, qui me fait penser qu'il ne me lâchera pas. Mes forces m'abandonnent définitivement et je me mets à sangloter, des larmes chaudes coulent sur mes joues, mon corps devient ...
    ... une chose molle comme une poupée de chiffons. Il a senti ma défaite, son sexe s'est durci à nouveau en moi. Ses reins ondulent à nouveau, je laisse faire, il va et vient librement pendant que je pleure doucement, ses mouvments sont doux et lents d'abord. Je ferme les yeux, sensible aux ondulations qui me bercent, je m'abandonne. Il accélère maintenant, ses coups de reins sont plus puissants, son gland pilonne mon utérus en me tirant des plaintes de petite fille. Il s'excite de plus en plus, il va plus vite, ramonant mon vagin de son sexe triomphant, je geins sous lui, je n'ai jamais connu une sensation aussi puissante, aussi affolante, qui m'emmene dans des rêves aussi forts. Je crie, je me tends comme un arc tandis qu'il va et vient au fond de moi, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je me livre, je m'offre à son sexe. Mmmmmmmmmm!!!!
    
    Il jouit une nouvelle fois et cette fois il m'entraine avec lui, mon corps tressaille, se tord sous la jouissance et une longue plainte sourd de mes lêvres pendant que de longs frissons irisent mon épiderme.
    
    Nous nous abbatons enlacés, étourdis d'un tel paroxisme, hébétés.
    
    Et puis il s'est levé sur ses coudes, il a bascué du lit et il est parti.
    
    Je n'ai pas bougé, je n'osais rien faire, j'attendais la suite.
    
    Il n'y en eu point.
    
    Je ne l'ai pas revu. Jamais.
    
    Le mois suivant je n'ai pas eue mes rêgles et mon médecin m'a annoncé ma grossesse.
    
    Je suis allé voir mon oncle, je lui ai dit mon état. Il est parti d'un rire ...