La vieille fille
Datte: 04/10/2020,
Catégories:
Première fois
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... vous ai demandé en vain d'arrêter et vous continuez à pilonner mon ventre de votre dard tendu. Je le sens palpiter de plus en plus fort dans le fourreau étroit de mon vagin ou il va et vient de plus en plus vite.
Je ne peux sortir de mon esprit cette image obscène de cette verge entrée par effraction dans mon corps et qui est maintenant chez elle! Et puis les conséquences qui sont pour moi si paniquantes! Si graves et bouleversantes!
Ooooh! Nooon! Je le répète encore et encore, vous sentant de plus en plus excité de plus en plus proche de cette apocalypse qui me guète et que j'ai provoqué sans me douter à quel point ce serait une épreuve.
Des images, toujours des images qui défilent dans ma tête, des images de bébé, de couches, de nuits blanches, d'allaitement, d'angoisses diverses.
Non! je ne veux plus! Tant pis je resterai dans ma modestie besogneuse actuelle, mais je ne veux pas assumer une grossesse. Je lutte encore un peu, je vous repousse mais votre corps est si lourd qu'il me cloue au lit qui remue comme une mer agitée.
Le lit craque... Je sens en effet que ma tige coulisse de façon plus fluide dans votre vagin, même si celui ci me semble toujours d'une étroitesse rare: celui d'une femme restée longtemps vierge. Je sens votre poitrine contre mon torse, et les mains qui cherchent à me repousser, de plus en plus violemment, alors que les cris de refus continuent de retentir dans la chambre: ils semblent même s'être intensifiés, être devenus plus ...
... hystériques à mesure que le coulissement devenait plus fluide, que je sens une certaine humidité facilitant le coulissement, de même que vos tétons me semblent plus durs contre mon torse: une chose est certaine: notre intimité, celle de nos deux corps, ne saurait être plus totale, et ce corps de femme qui réagi ne change rien, même s'il sagit d'un viol, et malgré les circonstances étranges qui vous ont amené à le rendre possible.
Vos cris deviennent déchirants, rauques, résonnant dans la chambre, et trouvant une force qu'on ne trouve que dans les moments ultimes, vous me repoussez avec force, je m'agrippe à vous de mes bras puissants passés autour de vos hanches, malaxant vos fesses, je vous tiens dans la tempête qui secoue nos corps.
Aaaaaaaaaahh, un cri rauque venu du fond de mes entrailles franchit mes lèvres tandis que je sens ce sexe de plus en plus palpitant. Nul doute que dans une poignée de secondes il va cracher sa semence lourde et grasse au fond de mon ventre, j'imagine le gland tendu contre le col de mon utérus: il le pilonne, il le frotte, il l'irrite sous ses frottements.
Je n'en puis plus, je refuse que l'inéluctable se produise, je refuse de tout mon être cette course folle des spermatozoïdes vers mes ovules, et dans ma tête défilent les images mille fois vues à la télévision de petits têtards ondulants. Cette vision me dégoutte, je ne veux pas en moi ces têtards répugnants, non! Jamais!
Et je trouve les forces nécessaires à refouler ce corps lourd qui pèse ...