1. Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 4 : Ma progression de soumise (1)


    Datte: 04/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Maitre-Guy, Source: Hds

    ... Il a tellement insisté pour donner ce prénom à ma fille que j'ai cédé sans que cela me coûte même l'ombre d'un regret. Elle est si belle, ma petite.
    
    — Vous vous entendez bien, toutes les deux ? J'ai été tout étonné que tu lui téléphones à Londres pour lui apprendre que tu venais de te faire enculer par ton vieux voisin du dessus.
    
    — Oui, nous avons une relation quasi fusionnelle. C'est elle qui me rase la chatte et je lui en fais autant.
    
    — Et vous n'avez jamais songé à aller plus loin ? Je te jure que tu vas lécher la chatte de ta fille dès qu'elle sera de retour !
    
    Il s’est arrêté soudainement de parler. Je l'ai regardé : il s'était tout bonnement endormi. Je me suis pelotonnée encore plus près de lui et moi aussi j'ai plongé dans le sommeil en rêvant de ma petite fille et de ce nous allions pouvoir faire toutes les deux sous la direction de ce vieux cochon.
    
    Dès notre réveil, les choses ont un peu changé. Il m'a fait mettre sur le dos et m'a dit :
    
    — Ouvre bien tes cuisses et prends tes genoux dans tes mains, pour que ce soit plus confortable.
    
    Comme je ne voyais par très bien ce qu'il voulait, il a placé lui-même ses mains derrière mes genoux et il m'a ouverte. Je me disais qu'ainsi exposée, il devait avoir une sacrée vue sur mon anatomie intime mais je m'en moquais. Il a ajouté :
    
    — Je vais aller, avec ma bite, de ta chatte à ton trou du cul ; toi, pendant ce temps là, tu vas branler ton clitoris. Après que tu auras joui, ...
    ... nous irons manger.
    
    Nous avons fait comme il a dit : tantôt il s'enfonçait jusqu'au fond dans ma chatte grande ouverte, remplie de ma mouille gluante, tantôt il allait le plus loin possible dans mon rectum. J'accueillais sa grosse bite comme jamais je ne l'avais fait, surtout que je continuais à me masturber comme une folle, ce qui rendait mes deux trous plus béants qu'ils ne l'avaient été depuis qu'il était mon Maître. Je coulais en continu, mes mains étaient trempées, tout comme mon entrejambes, lui allait et venait d'un trou à l'autre avec une aisance qui me confirmait la béance de mes orifices.
    
    Je n'étais plus qu'une femelle en train de jouir comme elle ne l'avait jamais fait, lui grognait entre ses dents en me traitant de tous les noms et en me promettant des ébats futurs inconnus jusqu'à ce qu'il s'effondre sur moi en lâchant d'énormes quantités de sperme. J'en avais partout : dans la chatte, dans le cul, sur le ventre, sur les mains, sur le haut de mes cuisses, vraiment partout où ses jets m'avaient arrosée.
    
    Une fois qu'il a eu terminé, il m'a dit :
    
    — Ben ma salope, tu vas m'épuiser mais je m'en fous.
    
    Il a ajouté :
    
    — Bon, maintenant, on va manger. Ne te casse pas le tête, juste des pâtes, c'est le meilleur pour les grands sportifs comme nous !
    
    Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire.
    
    Il m'a regardée longuement et il a dit encore :
    
    — Tu vas avoir un problème en te levant, je vais t'aider à y remédier.
    
    (à suivre) 
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