Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 4 : Ma progression de soumise (1)
Datte: 04/10/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Maitre-Guy, Source: Hds
Mère et fille soumises au même Maître
Chapitre 4 : Ma progression de soumise (1)
J’ai fait comme il m’a dit, mais j’ai eu une idée que j’ai voulu mettre en application immédiatement.
Comme il nous avait fait remettre à genoux sans me quitter, j’ai lancé mes reins contre son ventre, pour qu’il s’enfonce au maximum dans moi.
En même temps, j’ai serré et desserré l’anneau de mon anus.
Il a apprécié puisqu’il m‘a dit :
— Je savais que tu étais une bonne salope sous tes airs de bourge coincée !
Il a ajouté aussitôt :
— Putain, j’ai l’impression que tu es en train de me traire la bite avec ton cul ! Je n’ai jamais connu ça, même avec ma femme qui était pourtant une sacrée salope que j’avais bien dressée. Toi, Élodie, tu es supérieure à toutes les femelles que j’ai connues. Bravo, je vais te guider dans des chemins extraordinaires.
Pendant qu’il me parlait, je continuais mes mouvements d’aspiration avec mon cul et de serrements et desserrements de mon anus tout en me précipitant contre son ventre de toutes mes forces pour qu’il rentre bien dans moi.
Au bout d’un moment, il n'a plus tenu ; il a rempli mon rectum de sa liqueur chaude qui me faisait tant jouir. Il grommelait que j’étais une salope, qu’il allait me donner en cadeau à tous ses amis les plus vicieux, qu’il voulait me baiser et surtout m’enculer sous les yeux de mon mari et de ma fille, que d’ailleurs il transformerait aussi ma petite Emma comme moi, pour son plaisir, qu’il avait déjà prévu ...
... comment la dépuceler, etc.
En l'entendant parler ainsi, je ronronnais littéralement de béatitude car j'avais l'impression qu'il me disait qu'il était très heureux de m'avoir à lui, qu’il me faisait presque une déclaration d’amour. Je me sentais très fière de moi.
Pour ce dimanche matin, nous avions bien « travaillé » si j'ose dire, lui comme moi. C'est pour cette raison que j'ai apprécié qu'il me dise :
— Il faut qu'on se repose ou on ne tiendra jamais jusqu'à ce soir, tu ne crois pas ?
Il a ajouté :
— Ce soir, tu m'auras complètement essoré les couilles, mais je veux au moins tenir jusqu'à ce moment-là. Tu sais que j'ai un quart de siècle de plus que toi ? Tu vas me tuer si on continue comme ça !
Il s'est arrêté de parler puis il a repris :
— Remarque, mourir avec ma bite dans ta chatte ou dans ton cul, il y a bien pire comme mort !
Il a souri puis a ajouté :
— Viens ici.
Il est sorti complètement de moi puis il s'est étendu près de moi. Il a allongé son bras et il a posé ma tête dessus. Moi, toute heureuse, je me suis pelotonnée contre lui. J'ai pris doucement sa bite entre mes deux mains et j'ai attendu qu'il parle. Il m'a demandé :
— Élodie, tu as un très beau prénom, je l'adore. Qu'où te vient-il ?
Je me suis mis à rire en lui apprenant :
— J'avais une arrière grand-mère qui portait ce prénom, qui plaisait beaucoup à ma mère.
— D'accord ! Et pourquoi Emma ?
— Mon premier mari était Normand, né à Rouen et adorateur d'Emma Bovary. ...