1. Un enchaînement de circonstances


    Datte: 03/10/2020, Catégories: fh, fdomine, facial, Oral hdanus, sm, hsoumisaf, Masturbation Auteur: Marie Anne & Luc Carois, Source: Revebebe

    ... Un frémissement me parcourt.
    
    — Arrête… l’avertis-je tout bas.
    
    David lèche toujours mes cuisses, ses yeux rivés aux miens… ses doigts plongent alors dans mon intimité entrouverte, et commencent à la patouiller au fond. Je réprime un cri…
    
    — Arrête ça, répété-je, sentant monter en moi la marée lourde du désir.
    — Non… sourit-il.
    
    Oh oh… Je crois que… Et voilà que David ouvre davantage le compas de mes jambes, pour glisser sa bouche contre ma chatte, me saisissant aux hanches très fermement pour que je ne bouge plus. J’hésite à me révolter… et en sentant sa langue me taquiner le clitoris, je n’hésite plus du tout. Je le laisse s’approprier mon antre chaud et bientôt humide de sa salive et de mon plaisir… grotte trempée qu’il possède ardemment jusqu’à ce que je jouisse, tremblante, sous ses caresses. Ce mec est « mister minou » dans «Sex and the city ». Le roi du cunni. Incroyable. Je me sens comme Charlotte, et en plus, il parait que je lui ressemble. J’espère que ce n’est pas le côté gourde qui en fait la référence.
    
    Avec lenteur, je saisis le visage viril, et l’éloigne de ma chatte ruisselante. Le souffle court, je cherche le regard de mon amant, m’attendant à y lire sa victoire de m’avoir eue sous sa coupe, moi qui suis harnachée comme la dominatrice que je suis… ou que j’ai été.
    
    Mais de sa fierté de mâle, aucune trace. Il me contemple d’en bas comme en pâmoison devant une divinité grecque. Et je sais, sans aucun doute possible, que cet homme m’appartient, ...
    ... quoi que je fasse, quoi qu’il arrive. Je n’avais pas besoin des menottes, apparemment…
    
    — Dessape-toi, intimé-je dans un soupir.
    
    David recule sur le lit, et rapidement, m’obéit, les yeux dans les miens. Les vêtements tombent au sol en quelques bruissements. J’admire son corps nu, ses pectoraux bien marqués, la toison fournie de sa poitrine, dans laquelle j’ai immédiatement envie de fourrer mes doigts. Mes yeux descendent sur son ventre rebondi, puis sur son autre toison, la plus intime… son sexe n’est pas très long mais massif, et il bande comme un taureau. Je m’approche et rejoins David sur le lit, glissant ma main dans ses poils doux qui m’attirent comme un aimant… je suis surprise du poids de ses couilles contre ma paume avide.
    
    — Sally… murmure David, fermant les yeux.
    
    Cette fois, je ne le reprends pas. Il a raison, de toute manière. Je ne suis pas Lucie en ce moment… pas avec lui… Je suis juste Sally. Je lâche doucement ses parties.
    
    — Déshabille-moi, maintenant… soufflé-je.
    
    Lorsque ses doigts et sa bouche m’effleurent, à tour de rôle, pour ôter, un à un, tous mes artifices, je suis prise de tremblements irrépressibles. Une fois nue, je me laisse attirer contre lui, tandis qu’il me serre comme un perdu. Sa peau est douce, chaude, il sent si bon… une vague de désir plus forte que les autres, déferle dans mon ventre, un gémissement m’échappe.
    
    — David…
    — Oui… répond-il gravement, noyant ses yeux dans les miens.
    — Je t’en prie…
    
    Souriant, il me repousse ...
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