1. Anne-Claire, inspectrice de chantier


    Datte: 03/10/2020, Catégories: fhhh, nympho, Collègues / Travail Oral préservati, Auteur: BCBG, Source: Revebebe

    ... d’ouvriers casqués qui s’approchent, le visage sévère, tendant leurs mains larges. Elle imagine la chaleur des paumes parcourir les endroits les plus secrets de son anatomie et semble entendre les respirations de plus en plus haletantes des mâles.
    
    Parvenant brusquement à reprendre ses esprits, la jeune femme, prise de panique et ressentant un sentiment intense de culpabilité décide de rejoindre sa voiture et de quitter cet endroit. Une fois sur la voie rapide, sa respiration devient plus régulière et son cœur cogne moins fort dans sa poitrine.
    
    — Ce n’est pas possible, cela ne va pas recommencer, je deviens complètement folle ! se dit la jeune femme la gorge nouée.
    
    Une fois chez elle, elle court à la salle de bain afin de se rafraîchir le visage. Elle se rend ensuite dans la cuisine et se rend compte de l’heure tardive de la matinée. Il est déjà midi. L’estomac noué, elle avale un repas frugal et décide de s’allonger quelques instants sur le canapé du salon. Elle parvient à se détendre et somnole un moment tout en réfléchissant à la décision à prendre.
    
    Des images du spectacle offert par le chantier lui reviennent à la mémoire et sa bouche s’entrouvre peu à peu sur un sourire. La jeune femme se lève et se rend dans la salle de bain pour une toilette et une retouche légère de maquillage. Elle choisit ensuite une jupe bleue marine plissée, fendue sur le devant et tenue par une ceinture large de cuir noir et enfile un chemisier de soie couleur crème sur les épaules. ...
    ... Sa poitrine est libre et le contact du tissu sur les bouts de chairs déjà fermes ne tarde pas à faire son effet. La douceur du temps l’autorise à laisser ses jambes et ses cuisses bronzées nues. Une culotte rouge en satin recouvre sa motte intime dont quelques boucles rebelles et épaisses dépassent des rebords du vêtement. Elle ramène ses cheveux en arrière et les attache à l’aide d’un nœud de velours noir. Seule une petite mèche rebelle lui barre le front sur un côté. Le temps de glisser ses pieds à l’intérieur de deux sandales de cuir noir et la voici installée au volant de son véhicule.
    
    Elle vient d’effectuer tous ces gestes de manière procédurière, avec calme voire conviction.
    
    Ses deux mains sont refermées sur le volant et elle écoute le moteur ronronner. Elle ferme les yeux un court instant et démarre tranquillement. Il est près de 13h30. À cette heure, la zone commerciale est tranquille. Elle s’engage sur le chemin menant au chantier et fixe le grillage du portail d’entrée comme un objectif à atteindre. Elle gare sa voiture discrètement sur le côté et approche de la porte grillagée. Elle est aussitôt impressionnée par le silence oppressant. Les engins sont immobiles, stoppés nets dans leur dernier geste. Les outils et matériaux divers ont été laissés sur place et à terre ; pelles, brouettes, marteaux piqueurs, rouleaux de câbles électriques, sacs de ciment, etc.
    
    La jeune femme pose la main sur la poignée de la porte et appuie tout en poussant doucement. La porte ...
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