1. Jef fait du stop (1)


    Datte: 03/10/2020, Catégories: Erotique, Auteur: Thalderhoff, Source: Xstory

    ... rapides et saccadées dans son petit trou qui, depuis déjà un moment n’en était plus un.
    
    Jef n’a pas attendu que ce soit Alice qui lui donne le feu vert. D’une façon autoritaire, usant de la force de ses muscles, Alice s’est vite retrouvée sur les genoux, fesses en l’air, le nez dans les oreillers.
    
    Il n’était pas peu fier de lui !
    
    Ce n’était plus un trou du cul qu’elle avait là, Alice ! C’était une bouche de métro ! Se glisser à l’intérieur fut un jeu d’enfant !
    
    Y circuler ne présentait pas plus de problème. Il s’enfonçait jusqu’à faire claquer ses couilles sur son périnée en poussant des soupirs d’aise pour se retirer entièrement et recommençait son va-et-vient à un rythme d’enfer.
    
    Alice, au début n’avait pas résisté. Elle s’était installée au mieux pour lui faciliter la tâche et, elle devait bien l’admettre ; pour un débutant, il s’y prenait tout à fait comme il faut ! Ce à quoi elle n’avait pas pensé, c’est au plaisir qui allait lui donner. Pour elle, le gamin allait jouir en deux minutes, surexcité par cette nouvelle façon de faire l’amour. Or, il n’en était rien.
    
    Bien au contraire ! Un piston animé par une machine à vapeur n’aurait pas fait mieux !
    
    Jef, déchaîné, défonçait littéralement le cul d’Alice qui faisait des bonds en avant à chaque fois qu’il heurtait de son ventre son derrière avec un claquement sec. En peu de temps, son visage touchait le bois du lit et c’est en s’arc-boutant dessus qu’elle se préservait de se faire des bosses à ...
    ... répétition. Elle aurait voulu lui dire quelque chose, mais elle ne parvenait qu’à pousser un cri aigu à chaque fois qu’il heurtait de fonds de ses entrailles jusqu’à ce qu’il ne devienne plus qu’une modulation continue accompagnant les craquements du sommier et les claquements des corps se percutant sauvagement.
    
    Jef sentit monter son orgasme et se retira rapidement. La bite à la main, il guida les jets de sa semence sur le dos d’Alice qui continuait sa litanie bien qu’il ne soit plus en elle. Des reins jusqu’à dans ses cheveux, le sperme traça sur sa peau claire des serpents brillants, des taches reflétant les dernières lueurs du soleil couchant.
    
    Jef, essoufflé par cette fougueuse chevauchée, se laissa retomber sur ses talons. Son sexe, tout juste apaisé, laissait s’échapper quelques dernières gouttes translucides sur ses cuisses jointes.
    
    — Putain ! Ça, c’est de la baise où alors, je n’ai rien compris !
    
    Je ne m’étais jamais éclaté autant ! Je suis en sueur !
    
    Et toi, ma belle, ça va ?
    
    Alice se laissa tomber sur le côté, les cheveux en bataille dans le visage, les yeux cernés, maculés de son maquillage. Elle donnait l’impression d’avoir été déterrée ou encore, d’être passée sous le train.
    
    — Mon salaud ! Qu’est-ce que tu m’as mis ! Je m’étais déjà fait enculer, mais jamais comme ça ! Tu es une vraie machine, un robot ! J’en ai pleuré tellement tu m’as fait jouir ! Tu m’as complètement vidée ! Il faut que je dorme !
    
    Sans rien dire d’autre, sans faire un mouvement de ...