Jef fait du stop (1)
Datte: 03/10/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Thalderhoff, Source: Xstory
... intervint.
— Doucement, doucement ! Respire ! Ne bloque pas ta respiration sinon, tu vas jouir dans la minute qui vient. Prends ton temps ! Je ne vais pas me sauver, tu sais ! Je suis trop bien !
Jef l’écouta et ralentit ses assauts précipités.
— Sors ! Reviens ! Recommence ! Ne me pénètre pas toujours de la même façon ! Varie le plus possible. Pour moi comme pour toi, cela n’en sera que plus agréable ! Oui, c’est bien comme ça ! Juste le bout, pas plus !
Très bien ! Tu sens la différence ! Fais-toi du bien ! Recherche ce qui te procure le plus de sensations, mais ne m’oublie pas. Moi aussi, je dois éprouver du plaisir.
Jef était bon élève. Le moment passé de folie et d’excitation, il retrouva son calme et la maîtrise de son plaisir. En appliquant les conseils d’Alice, tout devenait différent. Il ne s’agissait plus seulement de la baiser, mais de lui faire l’amour. Ce qui lui importait le plus maintenant c’étaient les réactions de sa partenaire.
Alice avait trouvé sans le savoir un gars fantastique et un amant de première ! Après le moment de folie, il s’était calmé. Maintenant, il agissait avec douceur, sans précipitation. En quelques minutes, le plaisir s’était installé dans son ventre, dans sa poitrine, dans son cœur ! Elle savait qu’il allait la faire jouir comme jamais Gérard n’avait su le faire !
"Celui-là, il était bon pour prendre sa valise !"
Soudain, une intense émotion accompagnée d’un formidable frisson la parcourut du haut en bas lui ...
... arrachant un soupir profond.
— Oh oui Jef ! Vas-y ! Baise-moi fort ! Ne t’arrête pas ! Oui, comme ça ! Encore ! OUUIIIII !!!!
Le jeune homme avait vu le regard d’Alice se troubler, devenir fuyant puis soudain intense, passionné. Elle se mordait les lèvres dans un rictus qui aurait pu lui faire croire qu’elle souffrait le martyre.
Il lui souleva les jambes qu’il repoussa jusqu’à ce qu’elles touchent le lit, encadrant la tête d’Alice. Sa chatte béante, luisante de mouille et de salive, n’attendait plus que lui ! Les jambes tendues il s’enfonça du plus qu’il put d’un rageur coup de reins.
Alice s’emprisonna les jambes entre ses bras et hurla plus qu’elle ne cria :
— Fais-moi jouir ! Prends-moi comme une bête ! Baise-moi, putain !!!
Jef cramponna la jeune femme aux hanches et commença une chevauchée à une cadence effrénée. Ignorant les cris stridents, les gros mots, les prières de la jeune femme, il la pistonna comme un fou.
Le bonheur n’arrive jamais seul dit-on !
Ce jour-là, le bonheur était dans les deux amants qui jouirent ensemble dans un concert de cris, de soupirs, de jurons.
Jef s’écroula sur Alice qui eut un mal fou à se dégager du corps du garçon alors qu’elle-même était quasiment cul par-dessus tête.
Un grand silence remplaça le vacarme des deux jeunes gens.
Un volet claqua sur le mur, mais personne ne s’en soucia. Il n’y avait plus que les abeilles qui bourdonnaient dans le jardin. Les deux rayons de soleil avaient parcouru la totalité de ...