Fugue (1)
Datte: 01/10/2020,
Catégories:
Gay
Auteur: Phil09, Source: Xstory
... ne désirait que de les sucer, c’était divin. Je découvrais mon corps et regrettais de ne pas l’avoir découvert bien plus tôt. J’aurais pu, avec un copain du pensionnat. Me souvint qu’il m’avait proposé de m’écarter avec lui dans un bois, à côté, mais j’avais refusé.
Le lendemain, je retournais à Saint-Lazare, j’y passais tout l’après-midi et la soirée. J’ai caressé un certain nombre de bites, j’aimais les sentir entre mes doigts, j’aimais sentir que je donnais du plaisir, j’aimais sentir leur sperme entre mes doigts et j’aimais surtout être désiré. Le soir, un homme d’une quarantaine d’années me proposa d’aller chez lui. Il me dit qu’il attendait un ami pour prendre le train de Pontoise. Je lui dis OK et nous voilà tous les trois assis dans le train. Ne savais où j’allais, mais j’en aimais la perspective, sans pourtant savoir ce qui s’y passerait. Arrivé chez lui, on but un verre, assis autour de la table. Je sentais sa main venir caresser mes cuisses. Je les écartais et dégustais le verre et les caresses. Son ami ne bougeait pas, il nous souriait, me regardais et je lui souriais. Vint le temps d’aller au lit.
L’inconnu me dit que son ami dormirait aussi dans ce lit et que nous devrons nous serrer un peu. Je n’y voyais rien de mal, si ce n’est que j’espérais qu’ils sauraient me faire honneur et n’y trouvais donc rien à redire.
Nous nous sommes déshabillés et en slip, nous nous couchâmes. On m’invita à me mettre au milieu, ce que je fis. Pour cela je dû en enjamber ...
... un. J’écartais les cuisses au maximum, en espérant qu’il s’apercevrait combien mon antre était si trempé, qu’il avait mouillé mon slip tendu à ce moment-là. D’une main je m’appuyais sur le torse de l’autre, ses poils roulèrent dans mes doigts, je frissonnais d’envie, comme si je les avais mis dans le pot de confiture et me léchais les lèvres du goût à venir.
Très vite, j’ai senti une main, puis deux, puis quatre sur mon corps. Huuum mon Dieu que c’était délicieux. Leurs lèvres se mirent à courir sur mon corps, je fermais les yeux et commençais à ronronner. Je sentais le piquant du poil de barbe de la journée sur l’aréole de mes tétons et j’aimais ça, tout comme j’adorais cette langue qui léchait mes bouts dressés tant ils étaient réceptifs et excités. Même là, à vous conter ces souvenirs, je sens cette même émotion monter dans mon corps, ma queue est raide, je me titille mes petits tétons avec mes doigts humectés de salive. Avec du recul, je puis dire que je me sentais comme une femme désirée, même si sur l’instant, je l’ignorais. Ils m’enlevèrent le slip, à quatre mains, je soulevais mes fesses, je m’offrais. Mon anus de nouveau tout trempé, se resserra de joie quand il sentit une main y aventurer ses doigts. Je sentis quelque chose d’humide enfourner ma bite et compris que l’on me suçait.
C’était chaud et doux, cette salive sur mon bout excitait tous les p’tits nerfs de mon gland, d’y repenser, je me suce un doigt tout en vous le comptant. J’avais le sentiment qu’il me ...