1. Résonance primitive 4


    Datte: 29/09/2020, Catégories: fhh, cocus, vidéox, double, Partouze / Groupe fsodo, Humour Auteur: Lokz, Source: Revebebe

    ... Vas-y, raconte ! Que l’on puisse se coucher. Demain, je me lève tôt.
    — C’est quoi « tôt » dans ta relativité ?
    
    Elle m’agace d’avoir raison. En ce moment, me lever tôt, c’est avant midi. Ou au pire, avant 14 heures.
    
    — Aller ! Crache !
    — OK. Notre soirée pyjama a dérapé.
    — Nooon !? J’ironise encore.
    — On était chez Sandrine, enfin, chez les parents de Sandrine absents pour le week-end. La soirée était plutôt chaude.
    — J’imagine.
    — Sandrine était en train de tester son double gode, qu’elle venait d’acheter, sur Solène pendant que je m’occupais de son cul à grands coups de…
    — Ah non hein ! Pas de détails !
    — … OK ! OK ! Bref, Solène prenait grave son pied, d’autant plus que Sandrine lui léchait aussi le…
    — Pas de détail j’ai dit !
    — … Donc, Solène était au bord de l’orgasme, et en règle générale, avant l’explosion, il faut toujours qu’elle lâche une phrase genre, « Putain, tu me défonces bien » ou « Argh ! Tu me fais jouir comme une chienne ». C’est plus fort qu’elle. Mais cette fois, cette andouille en pleine extase, lâche à Sandrine, droit dans les yeux : « Tu me baises mieux que ton mec ! ».
    
    Je reste coi, pas certain d’avoir bien suivi la logique de son histoire. D’autant plus qu’elle semble arrivée au bout, et que l’évidence semble pouvoir se passer de la suite.
    
    — Si je comprends bien, ta copine pète un plomb parce que sa copine, qu’elle est en train de baiser, lui balance qu’elle baise aussi avec son mec ?
    — Oui, c’est ça. Et puis, gravos le pétage ...
    ... de plomb. J’ai dû les séparer. Sandrine l’avait mauvaise.
    — Putain, je ne le crois pas.
    
    Pas besoin de jouer l’atterré, je le suis vraiment.
    
    — Elle trop jalouse en fait. Elle ne supporte pas que son mec soit infidèle.
    — Et donc, elle vous a viré de chez elle… Mais, pourquoi toi aussi ?
    — Après les avoir séparées, la tension est retombée et Sandrine était à deux doigts de pardonner à Solène, quand cette cruche, croyant bien faire, lui a balancé que, de toute façon, moi aussi je me l’étais envoyé.
    — Évidemment…
    — Même pas le temps de nous changer ! Elle nous a jetées comme ça, à moitié à poil.
    — OK ! Bien ! Vous allez prendre mon pieu. Elle sourit au mot. Non, pas celui-là. Moi, je prends le canapé.
    — Tu peux dormir avec nous, tu sais, on est trop naze pour qu’il t’arrive quoi que ce soit.
    — Bien essayé ! Allez ! Au lit. Elle ne parle pas ta copine ?
    — Seulement avant l’orgasme.
    
    Chez moi, le canapé n’est pas convertible, mais reste très confortable. Un oreiller et une couverture suffissent à mon bonheur pour pouvoir replonger presto dans les bras de Morphée. En attendant de sombrer, je me demande si les femmes ne deviennent pas machos avec le temps. Genre, je tringle tout ce qui passe pendant que bonhomme reste à la maison à s’occuper des gosses. Ce serait un drôle de retournement. Comme ces mecs qui traquent des salopes pour pouvoir les baiser par tous les trous, et faire des choses qu’ils ne se permettraient pas avec leur femme. Ça existe ! J’en ai rencontré ...