Karim ou Laila ? - Histoires de Sexe

Karim ou Laila ?

... corps et j'ai vaqué à mes occupations coutumières.

Lorsque j'ai entendu mon homme arriver, je me suis rapidement changé dans la chambre, et je suis apparu, le cœur battant, partagé entre le désir de lui plaire, la peur de lui déplaire et la honte de ne plus être un homme.

Il me trouva craquante et tint à me faire l'amour avant le repas pour me montrer combien il me désirait et combien je l'excitais.

La semaine est passée pour moi entre les emplettes de vêtements féminins et le sexe.

Puis le vendredi soir, après le repas, j'entendis sonner à la porte. Najib me demanda d'aller ouvrir, ce que je fis parce que j'avais confiance en lui. Une petite femme rousse d'une quarantaine d'années se tenait devant moi.

- Laila, je présume ? Me dit-elle.

- Euh ! Oui, non, c'est-à-dire…bredouillai-je en m'effaçant devant elle.

Elle sourit et entra. Je la débarrassai et la fis entrer dans le salon.

- Laila, je te présente Maîtresse Fatima qui sera ton coach et ton éducatrice.

J'étais interloqué, mais Najib poursuivit :

- Elle va t'apprendre à améliorer ta féminité et les manières. Je veux que, dans 10 jours, tu puisses sortir de jour sous ton visage féminin, je te veux sexy et glamour. J'ai pris rendez-vous avec un endocrinologue pour envisager une thérapie hormonale.

Tout cela allait trop vite pour moi et je commençais à protester mais Najib m'interrompit d'une voix sévère : Silence Laila ! Ta maîtresse t'apprendra aussi à tenir ta place ! N'est-ce pas ? ...

... Dit-il en se tournant vers la petite femme rousse.

- Absolument, Najib ! Répondit-elle. Nous allons en faire une vraie petite femme très rapidement !

Et c'est ainsi que cela se passa.

Lors de mon premier rendez-vous chez l’endocrinologue, il me fit faire des tests qui révélèrent que j'étais dans ma tête à 65% femme, trop peu pour commencer une thérapie hormonale immédiatement, mais suffisamment pour qu'il me conseille d'explorer le plaisir d'être femme.

Au bout d'un mois, les leçons de Madame Fatima avaient porté leurs fruits : je me baladais sans complexe en minijupe et hauts talons, dévoilant mes belles jambes toutes lisses, émoustillée par les regards des hommes se retournant sur mon passage.

Je me sentais femme et comblée. Il faut dire que Madame Fatima était un professeur exigeant et très autoritaire et me faisait répéter et répéter mes exercices jusqu'à épuisement.

Par contre, j'ai quitté Najib. Il était par trop autoritaire et macho et j'ai rencontré une fille lesbienne qui m'avait draguée alors qu'elle me prenait pour une fille. Je l'ai détrompée rapidement, mais elle m'a gardé et nous sommes maintenant mariés et amoureuses l'une de l'autre.

Je suis aussi heureux d'avoir trouvé une utilité à mon tout petit pénis qu'elle apprécie maintenant dans sa chatte, présence qu'elle trouve caressante et non intrusive. Par contre, elle me pénètre avec un très gros gode ceinture et nous y prenons beaucoup de plaisir.

Je ne sais plus très bien si je dois être ...