1. Médecine de pointe


    Datte: 29/09/2020, Catégories: h, fh, ffh, fplusag, fagée, couleurs, asie, profélève, médical, fépilée, Collègues / Travail volupté, cérébral, revede, Masturbation massage, pénétratio, Humour Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... excitation. J’imagine maintenant la jeune chinoise les yeux fermés, le visage crispé, sa fine main profondément enfoncée dans sa chatte.
    
    Je commence à avoir des lancées entre les reins, juste où sont plantées les aiguilles d’acupuncture. Le traitement en cours me donne des sensations inconnues, je perçois la montée de ma jouissance de manière beaucoup plus intense que d’habitude.
    
    La femme qui se caresse de l’autre côté du paravent s’abandonne maintenant sans retenue. Je l’entends respirer de plus en plus rapidement, laissant échapper un gémissement de bien-être à chaque fois que ma main frotte le bout de mon gland. Il n’y a plus de doute, nous sommes en parfait accord. Je décide de la surprendre, avant de lui faire gravir la Colline du Grand Bonheur. Sans lâcher ma queue, je pince violemment mes tétons, les étire jusqu’à la limite de la douleur, puis masse fortement les pointes durcies.
    
    Cette fois, c’est un cri de surprise et de plaisir qui jaillit. La situation est incroyablement excitante. Je suis en train de me masturber en rêvant du corps de madame Xien, qui s’excite sans doute de voir madame Fong approcher d’un orgasme libérateur, qu’il m’appartient de déclencher par ma propre jouissance. Le tout sur ordonnance calligraphiée.
    
    J’aimerais pouvoir faire durer ce partage indéfiniment. Mais l’accumulation des frustrations de ces dernières semaines m’empêche de me maîtriser plus longtemps. L’idée que mon acupunctrice va jouir juste derrière moi, m’excite plus que ...
    ... je ne peux le supporter. Et je dois avouer, que le fait d’entendre la vieille chinoise en train de malaxer son petit bouton aussi fort que je branle ma tige suffit à m’achever. Mes hanches se mettent à tanguer. À mon grand étonnement, je peux me laisser aller sans souffrir, comme je n’ai plus osé le faire depuis longtemps.
    
    Au moment où les premiers spasmes naissent dans mon ventre, une plainte aigue sort des lèvres de madame Fong. Sa jeune élève se met à lui parler doucement, à l’encourager à ce qu’il me semble, la voix entrecoupée de soupirs et de râles. Nous approchons visiblement tous les trois de l’explosion finale.
    
    J’essaie de me retenir encore un peu, en me concentrant sur les sensations qui me parcourent et que les aiguilles décuplent. Puis je choisis de nous libérer de quelques mouvements rapides sur ma tige. Mes boules se plaquent contre mon ventre, alors qu’un feu d’artifice explose en moi, ouvrant la voie à un long jaillissement de sperme. Au moment où ma semence gicle sur le tatami, arrosant le bonsaï au passage, j’entends les deux femmes prononcer un même mot en chinois, dans un long râle guttural.
    
    Il nous faut du temps pour reprendre nos esprits. J’hésite aussi à me relever, trop habitué aux douleurs qui ponctuent ce genre de réjouissances. Agenouillé dans le boudoir, j’entends les femmes remettre de l’ordre dans leur tenue, pouffer de rire, puis reprendre la place qu’elles avaient tout à l’heure.
    
    — Comment vous sentez-vous, les aiguilles ne vous ont ...
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