Liaisons Interdites (7) - Histoires de Sexe

Liaisons Interdites (7)

... suffisamment pour que quelques jets traversent le visage de sa fille. Le reste se répand aveuglément sur sa langue, le long de ses doigts et sur sa bouche. Quand le sperme chaud a commencé à se répendre sur son visage, la réaction de sa fille était de sourir, d’exprimer du plaisir et, lorsqu’elle en a recueilli sur sa langue, ses gémissements étaient plus proches du délice qu’autre chose. Sans attendre qu’il ait terminé de tout verser, elle le reprend en bouche !

Tristan n’y croit pas. Non seulement elle a réussit à le faire jouir une seconde fois en quelques minutes mais en plus elle a l’air de très apprécier son sperme, au point de l’avaler tout en le suçant jusqu’à la dernière goûte.

A bout de toute ressource, elle lâche enfin sa proie. Tristan reste un moment devant elle. La réalité se reconnecte à eux. Tous les deux se mettent à rire car ils prennent conscience de jusqu’où les choses sont allées. Mélissa :

— J’en ai de partout…

— Attends j’allume.

Tristan tend le bras vers la petite lampe posée à côté de la télé. Lorsqu’il allume, le carnage se dévoile. Le lit est un véritable chantier. Les draps à moitié défaits, les vêtements jonchent en parti au sol et sur le lit, un coussin parterre, tous les deux entièrement nus, Mélissa le corps criblé de sperme. Elle regarde son corps impressionnée de le voir aussi couvert. Plus elle regarde plus ce constat se transforme en rire. Tristan est partagé entre la gène d’être tous les deux nus après ce qu’ils ont fait et ...

... la surprise de voir, aussi, tout ce qu’il a déversé sur sa fille. Ils parviennent à confronter leur regards, se jaugeant chacun de la tête au pied :

— On est complètement tarés… Dit Mélissa

Tous les deux se regardent en prenant conscience qu’ils partagent la même folie. Cette prise de conscience les excite mais ne savent pas trop quoi se dire pour le moment. Tristan se reconnecte à l’instant présent en cherchant quelque chose pour nettoyer sa fille. Mélissa :

— Ne te fatigue pas, je vais aller directement dans la salle de bain ça sera mieux.

Elle récupère ses vêtements avant d’aller s’enfermer le temps de se rafraichir. En attendant, Tristan remet de l’ordre, songeur à ce qu’ils ont fait. Il se remet ensuite dans le lit. Elle le rejoint. Tous les deux sont un peu distant :

— Bon, là cette fois je crois que… Engage Tristan.

— Oui, je crois qu’on peut difficilement faire pire… Enfin si on peut dire ça…

— Faire pire ?

— Oui je veux dire que ça ne sert plus à rien de nier quoi que ce soit…

— C’est clair…

Pensifs, ils cogitent allongés côte à côte. Tristan, bien qu’il ait du mal à réaliser qu’ils aient vraiment couché ensemble, retient que c’était puissant et fort en sensations. Ses airs de petite cochonne assoiffée de sex, il a adoré ça. L’ envie de partager son impression lui vient :

— Tu veut que je te dise un truc… Jamais personne ne m’a fait venir une seconde fois aussi vite…

Mélissa entend bien ce qu’il lui dit, se tourne dans sa direction ...