1. Alice au pays de la soumission (8)


    Datte: 20/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... Sensuelle, Alice s’amuse même à mordiller les chairs intimes de ces vendeuses. Quand Alice se retrouve sur le dos, léchée par ces deux femmes devenues insatiables devant cette soumise, Paul lui remet le cintre. C’est alors Alice elle-même tire sur ce cintre et plus fort encore que Paul. Près de la plus âgée, Paul laisse vagabonder ses mains sur sa croupe qui ne le fuit pas.
    
    Il ne cesse de filmer, épuisant l’unique batterie. Satisfait, il l’arrête, la range et vient enfoncer son pénis dans le sexe béant et dégoulinant de la plus âgée. À peine est-il à l’intérieur que la femme jouit aussitôt. Paul bénit ce moment exquis, rempli de cette sensualité qu’il n’en finit pas de découvrir.
    
    Deux heures ont passé, à la caisse, les deux vendeuses éreintées, plus que ravies, préparent la petite note. Si elle ne comptabilise pas tout, c’est que Paul et Alice leur ont fait voir et prendre du plaisir bien au-delà de ce qu’elles pouvaient penser ou imaginer. Dans la rue, le crâne lisse fait toujours son petit effet. Alice est maintenant très fière d’être en laisse et à deux pas derrière son Maître. Cependant, ce n’est pas du goût de tous. Un agent s’approche de Paul.
    
    — Vos papiers ! Et c’est quoi cette exhibition ?
    
    — Comme vous y allez, c’est ma compagne et elle adorent être en laisse. Je ne vais pas refuser de lui faire plaisir.
    
    — Chez vous peut-être, mais dans la rue, c’est interdit.
    
    — Ah bon ! Et depuis quand c’est interdit et quelle loi l’interdit ?
    
    — C’est interdit, ...
    ... un point c’est tout. Cela s’apparente à de l’exhibitionnisme.
    
    — Ben voyons, est-elle nue ? Non ! Fait-elle scandale ? Pas du tout, à voir ces passants plus étonnés par son crâne chauve que sa laisse. Alors, je vous le demande, où est le mal dans tout ça ?
    
    — C’est interdit et ça ne se discute pas.
    
    — OK, on va au poste, je veux voir votre supérieur et j’appelle mon avocat. Nous verrons bien, Monsieur, la morale. Entre nous, je sais pourquoi vous voulez nous verbaliser, c’est parce que vous n’osez pas en faire autant.
    
    — Euh... Au poste !
    
    — Ben voilà.
    
    Sur son téléphone portable, Paul appelle son financier qui est aussi son avocat. Devant le poste de police, Paul se fume une cigarette avec toujours Alice en laisse. L’agent commence à perdre patience et le montre clairement. Paul ne cherche rien de plus qu’à le mettre en colère.
    
    — Vous deux, vous me les embarquez pour trouble de l’ordre public.
    
    — Oh, on a changé l’acte d’accusation. Maintenant, veuillez me montrer le bureau de votre officier. Mon avocat ne devrait plus tarder.
    
    — Au trou.
    
    — Cela m’étonnerait beaucoup, mon cher. Nous allons patienter ici.
    
    — C’est quoi ce bordel ? crie un gradé.
    
    — Ce sont ces deux olibrius, trouble de l’ordre public, cet homme traîne sa femme en laisse à travers la ville. En plus, il y a délit d’exhibitionnisme.
    
    — C’est vrai, Monsieur ?
    
    — Pas du tout, nous faisions des achats pour ma compagne, voyez ses sacs. Et puis, ma femme adore que je la promène en laisse ...