Alice au pays de la soumission (8)
Datte: 20/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: charimarien, Source: Xstory
Alice pose sa tête sur les cuisses de son Maître. Son impatience est si grande, qu’elle prend le petit martinet de la table de nuit et le tend à Paul. Ce dernier la fouette, visant là où Alice aime. D’une main, elle se branle alors que l’autre s’accroche à la nuque de son amant pour l‘embrasser amoureusement. Sur son cul, entre ses fesses, les lanières du martinet lui font merveilleusement mal. Paul bande, elle se relève, s’empale sur ce pénis. Paul ne cesse de flageller le dos de sa soumise amoureuse. Il la penche en arrière, visant maintenant les seins. Alice gémit des coups de boutoir, des coups de martinet. Tel un disque dur, Paul enregistre tout ce qu’il fait, tout ce que fait Alice dans sa tête. Cela pourrait servir pour une soirée ou, qui sait, un film.
Dès l’aube, changement de tenue pour Alice. Paul l’emmène dans les magasins les plus chics de la ville. D’Alice, il exige une chose, elle devra toujours être en jupe, sans bas ni collant et ne porter que des dessous chics. En outre, pour les jupes, elles ne devront jamais dépasser la moitié de la cuisse et ne jamais être serrées ou alors fendues. Alice est tout sourire quand Paul dicte ses volontés aux vendeuses. Paul s’installe confortablement. Deux vendeuses, connaissant les goûts et les couleurs de Paul, s’affairent autour d’Alice. On la dénude. Le collier fait son effet, la marque sur son pubis tout autant. Ce qui effraie les vendeuses, c’est la marque au fer rouge sur la fesse gauche d’Alice. Et puis, il y a le ...
... crâne lisse d’Alice qui étonne autant que la marque du fer sur sa fesse.
— Quoi, vous ne le saviez pas ? C’est ma petite salope, mon esclave. Alors vous m’en faites une femme de la haute, sexy et provocante à souhait. Si elle devait se montrer réticente, je vous autorise à la punir d’une fessée, si elle vous donne des envies, elle devra impérativement vous faire jouir.
— Mais Monsieur, c’est votre...
— Mon esclave, elle doit obéir et elle le fait mieux que personne.
Interloquées, les vendeuses ne savent que penser. Pendant que la plus jeune s’en va chercher ce qu’elle pense convenir aux exigences de Paul, l’autre reste plantée comme une dinde devant Alice. D’un geste de la main, Alice s’agenouille, croise ses bras dans son dos, s’incline devant la vendeuse et baise ses pieds. Surprise, elle veut reculer. Alice la retient, commence déjà à lécher et embrasser les jambes de la vendeuse quand la plus jeune revient, les bras chargés de vêtements et sous-vêtements. Paul ordonne à Alice se redresser. Toujours à genoux, Alice regarde les vendeuses. Un claquement de doigts, Alice se penche vers la plus jeune et lui baise ses pieds.
— Vous voyez comme elle est docile et elle aime ça. N’est-ce pas Alice ?
— Oui Maître, pour tout l’or du monde, je ne veux plus changer de vie.
Alors que Paul lui demande tendrement de se relever, les deux vendeuses sont sous le choc de l’aveu si sincère d’Alice. Alice commence à essayer les jupes. Paul, tel César, lève ou abaisse son ...