Valérianne, végane
Datte: 27/09/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Jpj, Source: Hds
... endroit, elle savait cela et en usait en turlutes effreinées.
Et moi, j’en bavais de bonheur. On est bêtes, non ?
Elle n’en n’est pas restée là. La coquine savait des dialogues autrement bandants. Moi je pilotais l’auto entre pins et arbousiers. Elle, suçait à fond de gosier, sans rien voir, rien, du chemin.
Cette idée lui a fait bon effet et subitement, si l’on peut dire, elle m’a enfourné en toute profondeur au tréfond d’elle-même. Deep throat à fond de gosier d’un seul élan, d’un seul. Et puis elle a avalé. Ses amidales étaient accueillantes et triturantes de mon gland. Un vrai bonheur.
Et j’ai giclé.
J’ai alors compris qu’elle n’attendait que ça et se régalait de mes sucs en karcher.
Cette fille avait trouvé l’erzatz nécessaire pour compenser les carences de son alimentation.
Elle savait très exactement les manœuvres pour tirer le meilleur. Elle avait déclenché le processus par de multiples contractions de fond de gorge sur mon gland et maintenant que celui-ci hoquetait en façon de puit artésien landais, elle remontait depuis bas de hampe de sa ...
... bouche serrée en cul de poule pour pomper l’urètre tout en aspirant pour ne rien perdre du liquide séminal clair et fluide mais néanmoins dense d’éléments nutritifs.
Je poursuivais, l’esprit vaguement mandarine, ma conduite de l’automobile le long des lacets entre pins et dunes. Mon être se sentait vidé, mes roupes vibraient déjà de turbinage intense en espoir de recharger les batteries.
Elle s’était relevée et se pourléchait les babines en regardant les grands pins et en dessous les arbousiers de chaque côté de la route.
Elle m’a dit, tu peux remballer ton matos et te refagotter, tu mettras bien deux jours et deux nuits à recouvrer tes capacités, vu que j’ai absolument tout pris, merci.
*
Valérianne, j’aurais aimé la garder, être son copain, son ami de cœur. Mais ça n’a pas pu se faire. Elle avait de trop gros besoins.
Mais le plus rigolo, c’est qu’elle était persuadée que le foutre des garçons était nourriture bio, pas halale ni kachère, non, juste bio, saine et macrobiotique.
Nous on ne se plaignait pas...
Aucun de nous, jamais, ne s’est plaint.