1. Valérianne, végane


    Datte: 27/09/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... crier « gare », déjà elle tripotait ma braguette, tirant bas le zip, déboutonnant le futal, tirant la ceinture hors le passant pour dégager l’ardillon. Et elle y allait ardemment à deux mains.
    
    Maintenant, la droite filait bas dans mon boxer, empaumant mes roupes, les relevant, faisant jaillir en souple déroulement ma tige déjà presque rigide. Sa main gauche chopait les peaux de la bête en les menant bas pour en bien dégager la tête.
    
    Sa tête à elle était sur mes cuisses, entre ventre et volant et ses longs cheveux cachaient à mes yeux les activités auxquelles elle s’adonnait.
    
    Moi, stoïque, je me concentrais sur la conduite et surveillais le trafic alentour. La route serpentait entre les pins. Les troncs faisaient sur le goudron des ombres comme rayures de stroboscope qui chaviraient mes yeux et mon esprit tandis qu’entre mes cuisses se déroulait une tendre sarabande.
    
    Ses lèvres avaient coiffé mon gland. Ses lèvres étaient douces, elles étaient mouillées. Elles s’étaient posées sur moi comme une abeille se pose sur une fleur.
    
    Je pensais abeille et l’idée du dard m’est venue quand j’ai senti le bout de sa langue qu’elle avait durcie et appointée qui venait à mon méat, tentant de s’y immiscer, enfin juste comme un bonjour en copain, un bisou sur la bouche.
    
    Le scrotum dans sa dextre serré s’était contracté, tout strié.
    
    La hampe était dure comme du bois, sa main gauche serrant la base comme on tient, solidement, le guidon d’une moto en cross avant ...
    ... l’obstacle.
    
    Ses lèvres avaient passé la couronne et s’incrustaient dans le sillon coronal, comme étape avant poursuite du voyage.
    
    Sa langue en profitait pour mener danse sur le gland, le câlinant le cajolant en en épousant de sa courbure changeante les volumes complexes.
    
    La langue était un peu râpeuse et j’avais de plus en plus de mal à me concentrer sur la conduite.
    
    Sa langue râpeuse était couverte de salive fluide et épaisse comme mucus d’anguille. Je pensais, c’est comme jus de citron sucré. Le sucré vient atténuer l’acidité. Et je me sentais bien dans la bouche de cette fille qui cajolait mon gland de sa langue à la fois râpeuse et douce. Tendre et incisive. En rond en vient en va, en mouvements de valse à mille temps.
    
    Quand elle a attaqué le frein, du plat et du charnu, j’ai compris que cette fille avait de la technique.
    
    Le frein, sur une bite, est endroit singulier. C’est comme qui dirait concentration de nervosité. Le Bon Dieu a calculé l’épure en rabattement, comme point de rebroussement.
    
    Quand la fille passe sa langue à cet endroit-là, nous les garçons on part direct au septième ciel. Et c’est bon. Moi je crois que les filles savent ça et que c’est pour ça qu’elles y viennent, les coquines. Encore et encore.
    
    Celle-là connaissait la chanson, les paroles la mélodie et le rythme. Surtout le rythme. Et elle ne se privait pas d’en jouer comme un clarinettiste de la anche, de sa lèvre inférieure sur le dessous du gland, trés exactement sur le frein. Au bon ...