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Un conte pour adultes
Datte: 27/09/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Dede des alpes, Source: Hds
... à son tour de se faire doucher elle s’inquiétait bien un peu de l’insistance des frères sur ses zones sexuelles. En effet eux aussi prenaient grand soin d’examiner son bas ventre écartant les lèvres de sa moule pour s’assurer de leur netteté, eux aussi écartant ses grosses fesses s’assurant de sa propreté anale. Se considérant pratiquement comme leur mère elle satisfaisait leurs pulsions mais ne les laissait jamais l’enfiler, elle respectait certaines règles! S’il fallait tôt le matin dans le lit qu’elle calme leurs ardeurs elle prenait grand soin lors des fellations de bien tout avale,r pour éviter de salir le drap disait-elle. A ceux qui s’étonnaient de ces pratiques elle répondait : je leur donne bien mon lait, ils peuvent bien me donner leur foutre ! Vu l’exiguïté du logement tout se passait dans la plus grande promiscuité et l’habitude aidant, sans la moindre gène d’autant plus que quand la température le permettait ils restaient tous trois totalement nus ou éventuellement passaient une veste polaire qui trop courte ne cachait pas grand-chose mais les réchauffait un peu malgré tout … Même lorsqu’elle devait uriner et s’accroupissait cuisses écartées au-dessus du trou du wc elle ne s’offusquait pas que s’asseyant au sol en face d’elle ils regardaient le jet d’urine fuser entre ses grosses lèvres vaginales. Par jeu quelques fois, elle les écartait même de ses deux mains pour qu’ils puissent voir au plus profond de son anatomie et bien repérer son méat urinaire ...
... sous un clitoris légèrement dressé par l’émotion de la situation. « Il faut bien que jeunesse s’instruise ! » disait-elle. Elle est même allée ayant besoin de déféquer, jusqu’à leurs tourner le dos, s’accroupir tenant de ses deux mains ses fesses écartées pour qu’ils scrutent ses contraction anales jusqu’à ce qu’un long boudin brun sorte de ses entrailles. Mais très gênée par cette exhibition elle ne le refit qu’une seule fois malgré la demande pressante des frères. Lorsque tenaillée par le besoin d’une queue elle ramenait un ou deux hommes à la maison, elle demandait aux deux frères de se tenir tranquille dans un coin de la pièce pendant que les mâles la besognaient. Comme laver un drap était une vraie corvée dans le petit évier, elle préférait qu’ils copulent couchés sur le plancher ou leur présentait ses orifices allongée sur la table ou encore penchée sur le buffet. Surveillant les deux frères du coin de l’œil elle les ne leur interdisait pas de s’approcher discrètement au plus près pour assister aux ébats. » Il faut que la jeunesse s’instruise » rétorquait-elle si ses baiseurs s’en rendaient compte et protestaient quelque peu. Un jour Jérôme ramena dans leur maison une fille qu’il avait rencontrée près du bois. Transie de froid sous sa légère et très courte robe elle fut rapidement déshabillée et frictionnée sur tout le corps par nos héros. Pendant ces manœuvres tous trois détaillaient son corps. La fille était de taille moyenne, assez maigre. Brune elle devait être ...