1. Un conte pour adultes


    Datte: 27/09/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Dede des alpes, Source: Hds

    ... fallait maintenir cette habitude plutôt agréable car l’ambiance du logis était toujours glaciale. Maria sentait bien ces changements de comportement mais ne pensait aucunement modifier ce rite qui leurs permettait de passer des nuits confortables.
    
    L’ainé se levait souvent le premier pour allumer leur maigre chauffage et son érection matinale ne pouvait passer inaperçue des autres, surtout qu’il ne prenait pas le temps de se couvrir et nu se précipitait pour allumer le foyer. Le frugal petit déjeuner préparé, ayant passé une courte veste polaire pour se protéger de l’air encore frais il revenait vers le lit commun pour en avertir les occupants. Toujours en érection il surplombait Maria qui ne pouvait s’empêcher de remarquer les changements survenus dans cette partie de son corps. Si le jeune homme avait grandi et forci, sa bite, surtout dans son état actuel bien gonflée épaisse montrant une belle longueur, s’était bien développée. Ses grosses couilles légèrement remontées par l’érection pendaient malgré tout assez bas. Toute sa zone sexuelle était couverte de poils bruns. Son gland légèrement découvert par son prépuce rétracté montrait un méat suintant. Elle ne put s’empêcher de penser qu’un outillage comme cela ferait le bonheur de beaucoup !
    
    -Allez debout il est l’heure de prendre votre petit déjeuner… Maria, dit-il la voyant peiner pour se redresser tu peux t’accrocher à ma queue… rigide comme elle est ce matin elle t’assurera un bon soutien!
    
    Mais plus rapide c’est ...
    ... Romain qui agrippant l’appendice de son frère enjamba Maria qui ouvrait la bouche pour répondre. Passant par-dessus elle le sexe du jeune homme glissa sur les lèvres et ses bourses emplirent à demi la bouche de la femme, la bite lui heurtant l’œil. Maria fit comme si de rien n’était mais ne put s’empêcher de remarquer les changements sexuels survenus eux aussi chez Romain.
    
    Après le petit déjeuner ils se précipitèrent tous trois dans l’alcôve pour prendre une douche rapide.
    
    Chacun des habitants à son tour se tenait debout dans le bac du wc à la turc pendant que muni d’un arrosoir un second larron l’aspergeait parcimonieusement et que le troisième frottait vigoureusement toutes les parties du corps du premier. Maria profitait de cet instant, au moins une fois par mois, quand c’était à son tour de frotter l’un après l’autre les corps des jeunes hommes, pour contrôler leur état physique, décalottait les glands pour en vérifier la propreté, s’assurer que leur prépuce coulissait facilement, tâtait soigneusement chacune de leurs bourses pour éventuellement déceler une anomalie, les faisaient se pencher et demandait au frère d’écarter les fesses ainsi présentées pour découvrir l’anus et vérifier d’un ou deux doigts inquisiteurs qu’il restait souple et ne présentait pas d’hémorroïdes. Inutile de préciser que ces manœuvres déclenchait pratiquement toujours une belle érection que Maria se sentait obligée de calmer en les masturbant ou en les suçant selon les envies. Quand c’était ...
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