Le questionnaire
Datte: 27/09/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
fsoumise,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
facial,
Oral
fgode,
sm,
init,
Auteur: Kitt, Source: Revebebe
... d’être Sienne, Sa chienne.
Mes genoux commencent à être douloureux. Je réalise mon besoin de confort un peu trop présent. Il m’autorise à monter chercher un coussin dans ma chambre et me demande de descendre mes jouets par la même occasion. Il m’accompagne. Me remet à quatre pattes et me conduit ainsi, me traînant par les cheveux, complètement nue et soumise devant mon miroir.
M’imposer mon propre reflet. Moment rude pour moi qui n’accepte que difficilement de me voir telle que je suis pourtant, mais refuse encore de l’admettre. Me voir chienne. Me voir obéissante aux désirs et aux humiliations d’un homme. Fixer cette image m’est compliqué. Désagréable, et pourtant extrêmement troublant.
Nous redescendons et je suis installée sur mon canapé. Couchée sur le dos. Il m’explore longuement. Il pince mes tétons, teste leur sensibilité, doucement d’abord, puis la torsion s’intensifie. Mes seins sont sensibles, mais j’apprécie cette sensation, douce décharge électrique lancée directement vers mon bas-ventre. Il me fait écarter les jambes ; je ne peux cacher à quel point je mouille. Il me claque l’intérieur des cuisses ; la douleur est particulière, mordante. Je sens que mes cuisses chauffent rapidement et que j’anticipe pour éviter d’avoir réellement mal. Il me le fait remarquer.
Il claque ma chatte. Je découvre une sensation réellement délicieuse, exempte de toute forme de douleur et intensément plaisante. Monsieur me pénètre de mon gode. Je me sens remplie, j’aime tant ...
... ça ! Il agite le jouet avec vigueur ; je n’ai pas besoin de douceur pour mon vagin ; bien au contraire, j’aime me sentir défoncée, pénétrée violemment, complètement prise. Bientôt ses doigts remplacent le plastique. Monsieur sait y faire, titille mon point G et me fait mouiller abondamment. Je ne sais pas si je gicle, mais Sa main trempée qu’Il porte à ma bouche atteste de l’intensité de l’effet qu’Il a sur moi.
Il essaie de me pénétrer l’anus avec mon gode. Je suis beaucoup trop serrée pour le prendre : le chapelet n’a eu aucun d’impact sur la dilatation de mon trou. Monsieur me rappelle que ce n’est pas son souci que de me préparer, mais bien le mien. Je sais que dorénavant tous mes orifices devront être prêts à L’accueillir, Lui, un jouet, ou d’autres personnes à qui Il décidera de m’offrir.
Je me présente – toujours à genoux – à nouveau devant Lui qui regagne Son siège. Il me claque les seins, teste une nouvelle fois ma résistance. Après tout, j’ai indiqué être plus tolérante à la douleur qu’à l’humiliation, sans trop savoir en réalité, n’ayant jamais trop abordé l’humiliation.
Un incident. Une désobéissance de ma part ou un mot de travers, une plaisanterie malvenue très probablement, ma marque de fabrique maladroite. L’oubli de l’appeler « Monsieur », plus certainement. La raison précise s’est échappée de mon esprit. Monsieur gifle soudainement mes seins beaucoup plus fermement. Une punition qui me glace le sang, m’immobilise et me faire sortir instantanément du ...