1. Le questionnaire


    Datte: 27/09/2020, Catégories: fh, inconnu, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, facial, Oral fgode, sm, init, Auteur: Kitt, Source: Revebebe

    ... dont j’ai envie, la force de la pudeur est intense chez moi, dans l’expression verbale surtout.
    
    Dévoiler mes expériences sexuelles passées est plutôt simple ; avouer mes désirs les plus fous bien plus complexe. Je me rends compte de ma gêne qui ne cesse de croître. Et pourtant j’aime me livrer à lui, je sais que cela est primordial. Il cerne rapidement que je n’ose admettre que je suis une salope, une femme qui aime le sexe, qui a des envies fortes de pluralité entre autres, terrorisée pourtant à l’idée de les assouvir. Je me juge, m’autocensure trop pour l’admettre, pour m’avouer que je ne désire rien d’autre que d’être son jouet, laisser libre cours à toutes ses perversions, qui sont autant les miennes, inavouées et réprimées.
    
    Il le sent et nous commençons à jouer. Appréhension et excitation.
    
    « Monsieur » – car la première règle est celle-ci, accompagnée de vouvoiement pour Lui témoigner de mon respect envers Lui – me demande de me lever, de me cambrer et de Lui présenter mon cul en me penchant vers l’avant sur un fauteuil.
    
    Je suis ravie de Lui montrer mon corps. De m’exposer. Lui dévoiler mon gros cul qu’Il a déjà observé dépassant de ma robe dans le reflet du miroir. Lui montrer ce chapelet anal qu’Il m’a demandé d’insérer au plus profond de mon trou plus tôt dans la soirée à défaut d’un plug que je n’arrive pas à retrouver.
    
    Il me demande de faire la même chose en m’appuyant sur le rebord de la fenêtre ouverte, risque très modéré, n’ayant pas de vis-à-vis. ...
    ... J’avoue être rassurée par cette facilité pour ces débuts. Les choses se corsent quelque peu lorsqu’Il me demande de marcher à quatre pattes. Je ne l’ai jamais fait avant ; je me sens ridicule, rechigne un peu, lutte, mais m’y risque.
    
    Il me demande de venir à Lui, toujours installé sur Son canapé. Il me présente Sa queue que j’attends de découvrir depuis qu’Il est arrivé. Il me demande de me mettre à genoux. Je Le prends en bouche timidement. Il m’explique la façon dont Il aime être sucé ; je m’applique, même si je sens que je suis loin d’être à l’aise, que je sens bien que je reste dans l’appréhension, dans l’anticipation.
    
    Il verbalise ce qu’Il aime, la manière de Le sucer qu’Il apprécie. Il me guide. Je réalise vite que Ses conseils sont précieux et que Sa queue durcit bien plus efficacement quand cela Lui convient. Cette queue épaisse dans ma bouche est un délice, je suis ravie d’avoir cet échange qui me permet de Le satisfaire plus aisément.
    
    Je force naturellement pour essayer de la prendre entièrement et atteindre ma gorge, mon défi personnel systématique, au succès mitigé il faut bien l’admettre. Il me demande d’y aller doucement, de ne pas forcer : c’est Lui qui me guidera. Je me rends compte qu’en forçant et en me mettant mal à l’aise, Monsieur débande, envahi par mon inconfort. L’inverse exact de ce que j’essaie de faire. Nécessité totale de partage du plaisir, illustration de Son côté cérébral qui ajoute encore une profonde dose d’intérêt pour Sa proposition ...
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