Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (21) : même sur le lieu de travail !
Datte: 27/09/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... pénétration. Quel bonheur de sentir deux bites qui vont et viennent dans son ventre. Ils vont lentement, trop lentement presque. Pourtant je sens le plaisir envahir mon corps entier. C’est indescriptible ce plaisir qui arrive quand je jouis. Mon con est plein d’une grosse bite et mon cul d’une bite plus fine et plus longue. Je ne sais comment ils font pour ne pas jouir. Moi, je ne me gêne pas pour assouvir mes plaisirs qui arrivent en rafale.
• Continuez, encules moi, toi, baises moi toi aussi. Oh oui, encore n’arrêtez pas.
Ils m’insultent et insultent Philippe.
Je me sens pleinement pute et salope.
Rachid proposa alors à Olivier de me sauter sur le canapé du bureau de Philippe. Je me laissais emmener et mettre sur le dos, j’écartais les cuisses sans qu’on me le demande. Olivier me caressa puis baissa son pantalon, enfila une capote et, sans me laisser un instant de répit, sans préliminaires, sans tendresse, me baisa sous les yeux de tous. La scène semblait irréelle, trop facile, Je n’avais pas dit un seul mot, pas fait un seul geste pour m’opposer à ce rapport, bien au contraire. Je savais ce qu’on attendait de moi et j’étais heureuse de me comporter en pute.
Olivier avait fini sa petite affaire, quand la porte s’ouvrit. Je vis entrer un monsieur d’un certain âge, Paul, le chef de Philippe.
• Je vois qu’on s’amuse bien ici !
Serge le fit entrer jusqu’au milieu de la pièce pour qu’il puisse me voir encore allongée sur le canapé avec les cuisses ouvertes. ...
... Olivier lui expliqua que Philippe et Rachid, mon amant m’avaient amenée ici pour qu’on s’occupe de moi.
Philippe demanda à son chef s’il voulait lui aussi en profiter pour passer un bon moment en galante compagnie. Nue au milieu de ces hommes avait une présence torride, je vis que l’autre, malgré son âge, avait une belle érection.
Sa langue parti en reconnaissance à l'intérieur de mon vagin, de deux doigts il écartait mes lèvres pour bien dégager l'orifice vaginal.
Je fis le tour du bureau pour le rejoindre, perchée sur mes talons j'étais plus grande que lui.
• Défais mon pantalon ! »
Je m'accroupis devant lui, débouclais la ceinture, défis sa braguette, il ne portait pas de slip. Son sexe se dressa plaqué contre son ventre, son gland circoncis arrivait à hauteur de son nombril.
Il se mit de dos sur le bureau, me faisant mettre un peu sur le côté. Je m'appliquais à lui faire une fellation avalant entièrement son phallus, aspirant et léchant ses boules. Il fermait les yeux de contentement en poussant de petits râles de plaisirs. Il se leva rapidement, et tira le fauteuil.
Il s'y assit dessus le sexe bien érigé.
• Viens sur moi...
Il m'attrapa par les hanches. Je regardais langoureusement les hommes qui se trouvaient derrière. Puis je m'assis sur le phallus en érection.
C'était moi qui menais le jeu, je me levais et m'asseyais à mon rythme, essayant de varier la cadence de pénétration. Il me caressa les seins, titillant mes mamelons qui grossirent ...