1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (21) : même sur le lieu de travail !


    Datte: 27/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    Depuis que je passais chaque semaine une après-midi à la cité pour m’offrir aux jeunes du quartier, j’avais encore gagné un échelon dans l’échelle de débauche que Rachid avait dressée pour moi. Philippe avait voulu cela mais il était déchiré. D’un côté, il avait peur que je ne me perde dans l’escalade de luxure, il avait peur de me perdre. D’un autre côté, il ne contrôlait pas plus son candaulisme que je ne contrôlais mon hypersexualité. Non seulement il laissait faire, mais il m’encourageait. Il était souvent le spectateur ravi de mes débauches. Il avait mis des années à me faire basculer vers mes penchants naturels qui devenaient incontrôlables. Il avait ouvert la boite de Pandore et, au fond, il était heureux que je réalise ses fantasmes les plus inavouables.
    
    Philippe était le plus cocu des maris mais toujours amoureux de sa femme. Et moi j’étais toujours amoureuse de lui, reconnaissante qu’il ait tant insisté pour que j’assume pleinement mon hypersexualité que j’avais tant cherché à réprimer.
    
    Convaincu qu’il n’y pouvait rien, sachant que ce qui se passait il l’avait voulu, Philippe acceptait que Rachid soit devenu le mentor sexuel incontesté et incontestable de son épouse légitime, amant, initiateur, guide, gourou, maître. Il était devenu le maquereau de sa putain conjugale ; il m’avait ferrée, pervertie au point d’avoir créé chez moi une addiction. Il jouait avec moi en me soumettant à tous ses délires. Et peu importe qu’il était devenu l’objet de la réprobation ...
    ... générale.
    
    Tout le monde connaissait son « infortune », les femmes le gratifiant d’attentions sans lui dire tout haut qu’elles pensaient tout bas à savoir qu’il était un faible incapable de satisfaire une femelle trop chaude pour lui. Deux femmes voulaient davantage : elles le voulaient lui et briser notre couple. Il s’agissait de Flavienne, son ancienne compagne, qui venait de se séparer de son mari et qui draguait ouvertement Philippe pour le reconquérir. Flavienne me détestait, mais mon autre rivale me haïssait. Il s’agissait de Marie, qui pensait qu’en m’avilissant, qu’en humiliant Philippe, elle parviendrait à nous séparer.
    
    Quant aux hommes, ils invitaient volontiers Philippe au verre de l’amitié dans l’espoir de se taper sa femme ou de remettre le couvert quand ils m’étaient déjà passés dessus. Philippe les renvoyait vers Rachid, qui était l’ordonnateur de mes plaisirs et disposait de mon corps.
    
    Pour tout dire, la situation lui avait complètement échappé, il était le plus conciliant possible avec moi et Rachid pour ne pas tout perdre.
    
    Il restait un endroit où la réputation de Philippe était sauve, en apparence du moins, c’était à son travail. L’esprit pervers de Marie la poussa à suggérer à Rachid de mettre fin à cette exception et pour cela, il fallait que mes débauches se passent y compris sur le lieu de travail de Philippe, en sa présence.
    
    Pour ce faire, Marie et Rachid firent appel à Olivier et Serge, deux collègues de travail de Philippe. Olivier était ...
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