Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (21) : même sur le lieu de travail !
Datte: 27/09/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... niveaux, avec quelque plantes vertes, juxtaposée à un miroir d'environ un mètre cinquante de large allant du sol au plafond. A côté de la porte trois fauteuils de cuir noir avec un dossier assez haut et un canapé complétaient le mobilier. Sur la table, des boites de préservatifs. Il était prévu que je serai prise sur les fauteuils, le canapé et même le bureau de Philippe.
Je m’assois, enfoncée dans un fauteuil face aux hommes. Je me redresse et défais deux boutons du chemisier pour montrer le soutien-gorge, remonte ma jupe en haut des cuisses. Je me comporte comme ils le voulaient : comme une pute qui s’exhibe.
Un silence tombe dans le bureau, les yeux des collègues de Philippe sont posés et rivés sur l'entrejambe ainsi dévoilé. Je me débarrasse du soutien-gorge et montre mes jambes gainées de bas noirs.
Mon regard est provoquant, sûr de lui. Je suis la maîtresse du jeu et je le sais. Ces types, collègues de Philippe, vont me baiser devant mon mari et dans son bureau.
Je relève volontairement ma jupe pour découvrir le haut des bas, là où la peau blanche tranche brutalement avec la couleur noire du bas. Leurs yeux sont rivés dans cet entre-jambe où l'espace d'une fraction de seconde apparaît le triangle noir de mon pubis. J’ôte ma culotte ! Elle est trempée de mouille, ma chatte est déjà bien ouverte, mes tétons se dressent. Je suis émoustillée, j’ai envie de faire l’amour ou plutôt de baiser.
Les hommes présents bandent. Certains ont déjà sorti leur verge. Ils ...
... sont impatients de m’honorer.
Je poursuis et en les regardant fièrement dans les yeux, je défais deux autres boutons du chemisier, écarte légèrement les pans du vêtement leur dévoilant en partie sa poitrine. Philippe, installé dans un autre fauteuil, est au bord de l'éjaculation sans se toucher. Je sais combien il adore exhiber et offrir sa femme.
Fascinés, ils ne bronchent toujours pas. Je remonte encore un peu plus ma jupe pour leur exposer les poils noirs de mon sexe nu. Me soulevant, je dégage la jupe de dessous les fesses pour m’asseoir à même le cuir du coussin. Ainsi dévêtue, je ne leur cache plus rien de son intimité. Les collègues de Philippe ne détachent pas leurs yeux des jambes et du ventre nu là juste devant, presque à portée de main. Ils ont du mal à se contenir. Je ris triomphante sûre de moi, sûre de mon effet. Je suis ravie de les exciter.
Leurs regards m’excitent. Je sens que ma chatte se mouille très vite. J’ai envie qu’ils regardent mieux : j’écarte les cuisses pour les allumer encore davantage. J’en regarde un qui se masse la bite à travers le pantalon, sans pudeur. J ‘écarte les jambes pour qu’ils voient d’avantage.
Je veux qu’ils s’occupent de mon cul. Je les voudrais contre moi, m’embrassant et me pelotant. Ils peuvent venir sur moi me baiser. Je mouille comme une fontaine.
Ils se déshabillent rapidement. Deux s’approchent, je ne les connais pas, je ne connais pas leurs prénoms. Je vois leurs sexes épais et court pour l’un, fin et long ...