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Datte: 25/09/2020,
Catégories:
fhh,
couleurs,
inconnu,
grossexe,
vacances,
forêt,
fsoumise,
soubrette,
strip,
préservati,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
attache,
baillon,
yeuxbandés,
Auteur: Viona, Source: Revebebe
... dans la chambre. Ma femme est allongée en train de lire un magazine. Manifestement elle s’est reposée, le visage ne montre plus de signes de fatigue. Sa nuisette ne cache rien de sa féminité. J’essaie un petit sourire. Rien. Au moins je n’ai pas de remarques. J’ouvre la penderie, sort une valise que j’installe sur le lit et commence à la remplir de mes affaires.
— Que fais-tu ? dit-elle
— Tu vois bien ! C’est ce que tu voulais ! Maintenant il est parti. Tu es en sécurité et je peux partir.
— Comme tu veux.
Je continue de ranger mes affaires. Je prends mon temps. La valise est pleine. Je la ferme. Toujours aucune réaction. C’est cuit.
— Je prends une touche et j’appelle un taxi, dis-je.
Pas de réaction. Lorsque je reviens, je trouve tout mon linge étalé sur le lit et avant de poser une question, elle me dit :
— Tu n’as jamais su faire une valise ! Alors tu pars ! Je savais bien que tu avais honte de moi !
— Mais, chérie.
— C’est trop injuste. (Petits sanglots.) Tu me livres à un autre, un noir difforme, et maintenant tu me rejettes. (Elle pleure.) Monsieur fait son cinéma mais n’assume pas. Pars, puisque tu ne m’aimes plus.
Oh la perfidie des femmes !
— Mais chérie, je t’aime. Et encore plus qu’avant.
Je la prends dans mes bras. Sa peau est si douce. Mais aucune larme ne coule de ses yeux. La perfide. La manipulatrice. Sounou avait raison. Ma peau, encore humide se frotte à sa nuisette.
— C’est vrai que tu ne m’en veux pas ? Ta femme est une ...
... salope et tu l’aimes encore !
Je fais sauter sa nuisette. Nos corps se reconnaissent. Je bande.
— Oh, fais de moi ce que tu veux, je serai ton esclave. Je mérite d’être punie. Je suis une salope qui se fait baiser par un…
J’ai compris. J’entre dans son jeu.
— Salope, suce-moi. Suce ton mari. Tu vas voir.
Elle obéit aussitôt. Sa bouche me gobe. Je suis déjà bien raide mais ce n’est rien pour elle. Mon gland butte au fond de sa gorge. Je saisis sa tête entre mes mains et je l’immobilise pour la baiser sans ménagement. Elle souffre, respire avec difficulté, ses yeux pleurent mais pas une plainte ne sort.
Je suis sur la bonne voie. Je la libère, l’oblige à s’accroupir sur le lit. Quelques claques sur ses fesses donnent de la couleur. J’ordonne.
— Ouvre ton cul, je vais te prendre à sec. Ma queue n’est pas si grosse que celle de ton amant mais tu vas la sentir passer.
Toujours pas une plainte. C’est donc cela qu’elle veut. Elle place même ses mains pour bien ouvrir son sillon. Je ne suis pas un monstre, je mouille mes doigts et en plante deux dans son anus. Il me reçoit avec facilité. Serait-ce possible que nous ayons perdu toutes ces années uniquement parce que je me suis comporté comme un mari aimant et attentionné, alors qu’elle attendait, consciemment ou pas, que je la domine ou brutalise pendant l’amour. Mon pénis suit le même chemin et je glisse sans difficulté dans ce cul qui n’a jamais été si accueillant. Je la bourre maintenant avec rudesse, mes mains ...