1. Entrées


    Datte: 25/09/2020, Catégories: fhh, couleurs, inconnu, grossexe, vacances, forêt, fsoumise, soubrette, strip, préservati, Partouze / Groupe fsodo, sm, attache, baillon, yeuxbandés, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... transperce. D’abord doucement et avec précautions. Puis, au fil des mouvements, son amplitude augmente et comme la veille, elle accepte de le recevoir en entier. Elle prend son temps, savoure, avec toujours ce sourire aux lèvres. Mes mains sur ses hanches participent à la danse du sexe. Aujourd’hui pas de cris mais juste un « oui » salue sa jouissance.
    
    Elle reste pourtant empalée et deux mains noires la saisissent pour la soulever et la faire redescendre, reprenant le va-et-vient interrompu par la première jouissance. Je suis moi aussi dans une excitation folle et je libère mon sexe douloureux d’être comprimé si longtemps. Voyant mon état, Sounou, bouge ses mains pour les placer sous les fesses de ma femme, les écartent pour libérer le trou du cul. Par un clin d’œil, il me fait comprendre de saisir ma chance. Sans réfléchir, je m’enfonce d’une seule traite dans le cul offert. Ma femme sursaute de surprise mais ne dit rien. L’homme reprend ses mouvements et je peux sentir le pénis monstrueux qui est en elle et qui la pilonne comme un marteau piqueur. Chloé est une poupée qui se prête à nos attaques. Elle ne cesse de gémir et de bouger la tête comme si elle voulait dire « non ». Mais c’est à nouveau un « oui » tonitruant qui annonce une nouvelle jouissance.
    
    De mon côté, je décharge dans ce cul que je ne connaîtrai peut être plus. Pour faire bonne mesure l’homme dégage ma femme de son vit pour lui envoyer des giclées de sperme jusqu’au menton.
    
    Chloé est anéantie et je ...
    ... dois la retenir pour qu’elle ne tombe pas à terre. Je l’installe sur le canapé. Je donne l’argent prévu au sorcier que je raccompagne jusqu’à la porte du jardin. Nous avons une conversation surréaliste. Le mari et l’amant échangeant des impressions sur une femme, sur ma femme. Lorsque je lui dis que justement Chloé veut divorcer car elle ne me pardonne pas ce stratagème, il éclate de rire.
    
    — Mais ne la croyez pas. C’est un grand classique. La plupart des femmes que les maris m’envoient, sans les avoir prévenues de ce qui peut arriver, ont ce type de réactions. Et pourtant la très grande majorité accepte mon « traitement ». Bien sûr, je ne sais pas ce qui se passe pour celles qui partent, scandalisées dès qu’elles comprennent. Mais pour les autres, celles qui restent, celles qui acceptent, accuser la personne qui a tout organisé est un réflexe de défense. Vous savez bien que, pour une femme blanche, prendre du plaisir avec un noir reste dans le domaine du tabou. Alors elles nient. C’est la faute du mari. Vous verrez que j’ai raison. Et, en me faisant un clin d’œil, il me tend une carte, en concluant :
    — Si vous avez besoin, appelez-moi.
    
    En rentrant dans la véranda, je retrouve Chloé assise mais manifestement encore en phase d’atterrissage. Le sexe ou la fumette ? Bon mari, je l’aide à regagner la chambre ou Awa prend le relais.
    
    Pendant une bonne partie de l’après-midi, silence radio. Mais je repense à ce que m’a dit Sounou. Tout n’est peut-être pas perdu. Je remonte ...
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