1. madagascar 2, 3,


    Datte: 24/09/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: Arthur976, Source: xHamster

    ... dit : »Tu n’as bpas eu l’impression pendant la guerre que nous n’avions pas assez d’amour ? » Je ne sais plus ce que je lui dis, mais ce que je sais, c’est que nous étions ensemble, dans son bungalow, à nous embrasser sur la terrasse. Comment c’était arrivé, j »e ne sais pas, mais Marguerite, une fois passé sa réserve naturelle, semblait très bien savoir ce qu’elle voulait. Tout en m’enfonçant sa langue dans la bouche, elle pris ma bite entre ses mains à travers mon pantalon et me la pressa de telle manière que je me suis senti possédé. Elle colla sa bouche contre mon oreille et me murmura : « Tu veux faire tout ce que tu veux avec moi ? Je veux être ton objet, ta chose. »
    
    Ses paroles ont libéré quelque chose en moi. J’étais déjà sous le charme de cette belle rousse aux yeux marron, aux formes opulentes. Mais là, elle venait de heurter la touche sensible. J’avais envie à la fois de l’aimer comme un amant et de la forcer comme un voleur. Mes mains remontèrent vers ses seins plantureux et se mirent à les pétrir tout en l’embrassant encore plus fougeusement. Ma langue fouillait sa bouche et sa langue répondait à la mienne. Je me sentais aux portes du paradis.
    
    Je n’en pouvais plus, je l’emmenai sur le lit où je la couchai de tout son long, sur le ventre. Et là, pendant que je l’entendais haleter des « oui, vas-y » ou des « fais-moi ce que tu veux », je relevai sa robe sur ses jambes, au-dessus de ses fesses. Son cul était terrible ! Une orbe de douceur et un violent ...
    ... appel à l’amour. Je saisis ses cuisses pour les masser, je m’insinuai dans la partie intérieure avec une force impérieuse et je remontai vers son entrejambe. N’en pouvant plus, je lui écartai les jambes brusquement pour mieux voir son sexe et son cul. Je ne sais pas comment, je trouvai sous la main une écharpe et une serviette avec lesquelles je lui attachai les jambes avant qu’elle ait pu réaliser ce qui se passait. J’écartelai ses jambes sur le lit et les attachai solidement aux montants. Je me sentais maintenant le maître de cette femme, offerte, impudique. Elle se tortillait et m’encourageait : « Vas-y, prends-moi, fais-moi mal, fais-moi ce que tu veux , je veux tout! » Cette invitation, ce consentement libérait dans mon esprit des digues qui se déversaient dans ma bite et dans mes mains.
    
    Je commençai par pétrir ses fesses charnues, je les caressai, je les fessai même et à chaque fois, son cri de surprise et de douleur finissait sur une note de plaisir. Sa belle peu de rousse gardait des marques bleues de mes mains sur ses fesses. Puis je revins vers cette zone que j’aime par-dessus tout, dans l’intérieur des cuisses, juste sous le sexe, et là, par trois fois, je crachai toute la salive que je pouvais pour la lubrifier et je remontai, avec les pouces, cette salive vers son con et son anus. Et je saturai les lèvres de sa chatte de cette salive onctueuse, qui se mêlait à la cyprine qu’elle exsudait, je massai ses lèvres entre mes doigts, je remontai vers son clitoris qui ...