1. madagascar 2, 3,


    Datte: 24/09/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: Arthur976, Source: xHamster

    31 Novembre
    
    La chaleur est insupportable. Pourtant, je fais mes tournées dans les plantations en jeep, heureusement que la plupart du temps c’est le long du fleuve et que je peux me baigner fréquemment pour me rafraîchir.
    
    Clarisse continue à me rejoindre, le soir. Elle à l’air d’aimer ça, c’est une fille sexuelle comme un petit a****l, ardente et réactive. Et puis, elle est magnifique, je ne me lasse pas de la caresser, sa peau, ses seins, ses fesses son des aimants pour mes mains. Par contre, la conversation est au niveau zéro, elle me rejoint le soir et quand je me réveille, elle est déjà partie. Je me demande si sa famille sait que maintenant elle me rejoint presque chaque soir.
    
    Et puis, il y a autre chose qui me dérange. Je suis attiré par son joli cul et souvent, je lui lèche la chatte, et même si elle se tortille en semblant ne pas apprécier, elle me laisse faire. Par contre, à chaque fois que j’approche son trou du cul, soit avec mes doigts quand je la pénètre par derrière, soit avec ma langue, quand je remonte au-dessus de son sexe, elle se dérobe et elle me l’interdit. Elle se tortille en m’insultant. Je comprends que chez les malgaches, l’anal est un tabou et qu’ils vient cela comme une souillure. Décidément, ils ne savent pas ce qui est bon. Et puis, Clarisse est jolie et soumise, mais, elle manque vraiment d’ imagination. Ce n’est que pénétration et jouissance verticale. Je suis content d’avoir une femme dans mon lit, ou dans mon jardin, mais je m’ennuie ...
    ... déjà. J’ai envie d’autre chose.
    
    01 décembre
    
    J’ai rencontré hier à « La Bernique » la nouvelle institiutrice. Une belle rousse aux cheveux longs. Veuve, il paraît. Son mari a disparu en 1940. Mais je m’inquiète pour sa santé. Elle est tellement fine et pâle que je me demande si elle pourra tenir sous le soleil de ce pays.
    
    27 décembre.
    
    Je m’étais inquiété pour rien. Marguerite est bien plus solide et bien plus surprenante que je ne le pensais. Nous avons convenu à « La Bernique » de nous retrouver pour que je lui fasse découvrir les environs, les berges du fleuve, les hauts-plateaux et la bande côtière. Elle est enthousiaste et n’a pas de mots assez enthousiaste pour parler de ce pays. Mais sa peau est tellement pâle que je lui commande de se protéger le plus possible. Pourtant, elle est infatigable. Elle veut tout découvrir et se plait à rencontrer les villageois à chaque étape.
    
    Le premier soir, nous avons dormi à la belle étoile. Elle m’a parlé de son mari défunt, des projets qu’ils avaient en commun, et de ses ambitions d’enseigner outre-mer. Je crois que je n’ai fait que l’écouter.
    
    Mais le deuxième soir, nous avons logé dans un village important sur la côte, avev des bungalows, de l’eau à volonté, et un excellent repas de langoustes et de crevettes au riz pimenté. Elle n’a pas refusé, cette fois, le verre de punch que je lui proposais et après le deuxième, je lui trouvai un regard et un ton assez nouveau. Après le repas, elle me regarda dans les yeux et me ...
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