1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1183)


    Datte: 19/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... et régulièrement sur sa chair déjà tellement sensibilisée, rougie. Elle tentait de se cambrer, mais le ligotage ferme et la position qui lui était imposée excluait tout mouvement. Sa croupe rougie se striait maintenant de fines traces bleutées... Le martinet la flagellait sans ménagement …
    
    J'étais impressionné, car la belle soumise subissait presque en silence. J'imaginais combien j'aurai hurlé si j'avais du subir le même traitement. Et la peur m'envahit, j'étais désormais comme chienne Joëlle, un esclave de Monsieur le Marquis Edouard d’Evans, et ce que subissait cette femelle servile, je devrai sans aucun doute apprendre à le subir aussi... J'en tremblais et oubliais tout le reste, malgré ma position si inconfortable et la morsure des pinces qui irradiait mon corps nu... Lorsque le cul et les cuisses de l'esclave femelle furent le plus sévèrement marquées, presque à sang, ses poignets furent libérés et esclave Joëlle dut se relever. Elle tremblait et avait perdu toute forme de dignité telle qu'elle en avait montré même dans les positions les plus dégradantes. Je la sentais pitoyable, craintive mais en même temps si heureuse, si comblée, si épanouie de vivre pleinement sa soumission devant mes yeux effarés. Si grande son expérience qu'elle semblait avoir de sa condition d'esclave et de jouet sexuel des exigences perverses des Dominants qui géraient désormais nos insignifiantes existences... Le plus fort des trois ...
    ... étalons la maintenait d'une main négligente et la mena plus près du caméscope, il saisit ses cheveux et la força à regarder droit dans l'objectif.
    
    Puis il recula lentement, entraînant l'esclave femelle réduite à la plus servile docilité, révélant à nouveau tout son corps dans sa tremblante nudité. Maintenant appuyée le dos au cheval d'arçon, les mains tirées dans le dos et attachées, chienne Joëlle recevait une série de pinces partout sur le corps... sa langue, ses tétons étaient ainsi décorés, chaque pince ornée d'un petit grelot devant demeurer parfaitement immobile, car à chaque tintement elle était giflée afin d’obtenir une parfaite immobilité. De nouvelles pinces furent installées partout sur son corps, en séries sur le ventre, l'intérieur des cuisses... puis, un gode-vibrant électrique lui fut enfoncé profondément dans sa chatte trempée. Cette fois c'est le Maître en personne qui tenait la petite télécommande permettant de faire fonctionner le gode et d'en régler la vitesse... Monsieur le Marquis jouait ainsi avec les sens de Sa chose servile et si les grelots tintaient, il accélérait encore le rythme. Chienne Joëlle haletait de plaisir et de douleurs mêlées, ses pulsions masochistes de femelle en exergue. Je voyais qu'elle perdait pied face à un tel flot de sensations et j'admirais son abnégation d'esclave et la vénération qu'elle montrait ainsi envers le Maître dont nous étions les propriétés absolues...
    
    (A suivre …) 
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