1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1183)


    Datte: 19/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... l'emplissaient par saccades... Sa chatte de cochonne mille fois conquise, devenue un vide-couilles à répétition, son cul de grosse truie, un large trou béant d’où s’écoulait les semences des mâles insatiables …
    
    Chienne Joëlle était maintenant sur le dos allongée sur le sol, les bras et jambes tendus en étoile, bien écartelée ... Son corps englué de foutre frémissait de tant de sensations... Les trois étalons, debout autour d'elle la toisaient et je demeurais fasciné par leurs verges encore tendues, encore dressées, manifestement encore prêtes à faire leur office... Mais cette fois-ci les mâles ne bougeaient pas... Lentement, c'est le corps de l'esclave qui se mit à frissonner, ce corps luisant de fluides... L'esclave semblait s'éveiller soudain, sortant par à-coups de sa torpeur lascive. Sans cesser d'offrir au caméscope qui la fixait une vue parfaite sur ses cuisses largement ouvertes, elle ondulait, se cambrait, ses mains venaient se refermer sur ses seins et jouer avec ses tétons fermement érigés. Elle venait de faire glisser une main entre ses cuisses et se caressait sa chatte devenue fontaine, se doigtait dans des clapotis incessants, tandis que son autre main jouait encore avec sa poitrine dressée... Cela dura de longues minutes, esclave Joëlle se caressait maintenant à deux mains, cessant d'exhiber sa chatte dégoulinante, elle se contorsionnait en tous sens, offrant les poses les plus impudiques (et le mot est faible) à l'œil inquisiteur du caméscope manié par le ...
    ... Maître. Chienne Joëlle était maintenant à quatre pattes, le visage au sol, les reins cambrés, la croupe dressée, offerte et se doigtait l'anus largement dilaté tout en remuant ses belles fesses de sa croupe de femelle...
    
    J'en avais oublié les trois étalons qui soudain se remirent en action après avoir visiblement soufflé un bon coup. Le plus grand d'entre eux saisit assez brutalement les cheveux de chienne Joëlle et força l'esclave à se relever. Elle était pantelant mais le mâle n'en avait cure, La tenant face à lui, il lui asséna une belle paire de gifles, puis tendit la main pour que l'esclave femelle la lèche avec dévotion. Les deux autres étalons amenaient une sorte de cheval d'arçon sur laquelle esclave Joëlle fut contrainte de se pencher. On lia alors ses poignets alors que sa croupe était placée bien face au caméscope... Commença alors une première série de claques appliquées à la main, de véritables et puissantes fessées. Anodin ? Pas vraiment lorsque l'on voyait la largeur et la force des mains des trois mâles qui se succédaient afin de fesser ainsi le cul de l'esclave qui rougissait à vue d'œil ! Chienne Joëlle ne bougeait pas, mis à part un soubresaut lorsque les mains s'abattaient violemment sur ses fesses et elle demeurait silencieuse, comme elle avait appris... Le martinet succéda brièvement aux mains, rapidement remplacé par une badine de roseau souple. Maintenant, esclave Joëlle laissait parfois échapper de petits soupirs, car la badine s'abattait fermement ...