1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1073)


    Datte: 22/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Walter, mais qu’elle se caresse devant moi, n’outrepasse pas l’autorisation de mon vieil ami que je sache, c’est si peu demander que de se caresser sans même que je la touche, juste que je la regarde se branler en bonne petite chienne. Et de toute manière, une femelle ne peut qu’obéir !
    
    - Si fait, Monsieur le Comte, la chienne obéit, croyez-le bien, mais elle obéit à Celui à qui elle appartient : Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Je vous fais remarquer que ce que vous lui demandez de faire n’est pas autorisé en ce jour par Lui et la chienne ici présente a eu raison de ne pas vous obéir.
    
    Et « toc » Monsieur le Comte de Beusgley, me dis-je, la main toujours sur mon sexe, riant sous cape au fond de moi.
    
    - Avez-vous encore besoin de la femelle, Monsieur le Comte ?
    
    - Oui ! laissez-là ici, je n’en ai pas encore fini avec elle.
    
    - Comme vous voulez, Monsieur le Comte mais, vous le comprenez, je devrai relater l’incident à Monsieur le Marquis, dès son retour. La chienne que vous voyez devant vous est vraiment Sa propriété absolue, pleine et entière.
    
    - Oui ! Je sais, laissez-nous Walter maintenant, éructa le Comte.
    
    Walter sortit tout en le saluant poliment de la tête
    
    - Je te jure, petite salope, que tu me le paieras, d’une façon ou d’un autre, sois-en certaine ! Approche maintenant ! A genoux ! Défaits ma braguette, sors mon sexe et occupe-t-en, je vais voir si tu es aussi efficace de ta bouche pour sucer que pour palabrer et narguer un homme de mon ...
    ... importance.
    
    Je m’approchais, m’agenouillais entre ses jambes, défis sa braguette et sortis un sexe coincé dans le slip mais qui une fois libéré, se déploya vivement. Le Comte était bien monté. Une verge dépassant les dix-huit centimètres avec un gland somme toute, volumineux et bien découpé. Je déposais un baiser tout d’abord sur ce gland violacé qui sentait fort, puis passais ma langue dessus, dans la fente du méat, le léchant méticuleusement. Puis, je faisais le tour de la base du gland, avec la pointe de ma langue. Je jouais avec ce gland qui n’attendait qu’une chose, entrer dans ma bouche. Je m’en doutais mais reculais ce moment, léchant et léchant encore le prépuce, le frein, faisant mine de gober le bout de la grosse bite pour mieux en refaire le tour du bout de ma langue. Délaissant le gland, j’entreprenais de lécher la hampe sur toute sa longueur, toujours lentement, sans me presser sans y mettre les mains comme l’exigeait souvent le Maître. « Toujours avec la bouche et la langue, jamais avec les mains », disait Maître ! Enfin, après un « nettoyage » systématique de la queue devenue encore plus raide, je pris en bouche le gland, ce qui fit émettre au Comte de Beusgley un « Hummm » de contentement.
    
    A partir de ce moment, je commençais une fellation comme, de temps en temps j’aimais les faire, lente, longue, très longue, contrôlant complètement les éjaculations intempestives et que j’appelle « réflexes ». J’aspirais alors la bite, bouche grande ouverte, l’avalais le ...