Blanche au cul charmant : un conte drolatique de Figuelune - Histoires de Sexe

Blanche au cul charmant : un conte drolatique de Figuelune

... de se reculer mais madame Desnard, qui savait, maintint fermement sa tête :

— Non, petite. Tu dois recevoir en gorge et avaler. Un aristocrate ne supporterait pas qu’une simple servante recrachât son hommage.

Blanche déglutit. Cette crème n’était vraiment pas bonne.

— Bien ! Tu sais maintenant sucer un homme. Lorsqu’un seigneur soulèvera tes robes et se montrera insistant, commence par tomber à genoux pour lui prodiguer cette caresse. Si tu es assez habile tu parviendras la plupart du temps à le faire venir ainsi et il ne songera pas à autre chose. Tu peux même y gagner quelques piécettes, certains maîtres sont généreux.
— Et si ça ne suffit point, madame Desnard ?
— Ils voudront alors se glisser dans ton con. Et ça, nous l’avons vu, tu ne peux l’autoriser. Il faut donc envisager la seconde solution.
— Les fesses ?
— Celles-là mêmes. À toi de prendre leur chose en main pour la conduire vers l’arrière. Relève ta jupe et mets-toi à quatre pattes, nous allons ouvrir cette voie. Bethold va déflorer ton trou étroit, n’est-ce pas Bethold ?
— C’est que… madame… je viens déjà de partir par deux fois !
— Bethold, robuste garçon, n’es-tu pas à un âge où l’on peut être dur cinq à six temps consécutifs ? N’est-ce pas le nombre de fois où tu t’isoles quotidiennement dans quelque recoin pour te secouer vigoureusement ? Ne nie pas, je le sais, car je sais beaucoup de choses. Je sais également qu’il serait bon que tu cesses de t’essuyer ensuite aux rideaux, par ailleurs.
— ...

... Mais, madame Desnard…
— N’en retire aucune honte, l’affaire est naturelle à ton âge. Enfin, excepté pour les rideaux. Alors, ne désires-tu pas être le premier à honorer ainsi notre petite Blanche ? Pense au service que tu lui rendras, et au plaisir que tu vas prendre ! Tu as déjà enculé des filles, n’est-ce pas ?
— Non madame.
— Menteur ! Je t’ai vu avec Fanchon dans la réserve aux grains !
— Mais… Fanchon n’est plus une fille mais une femme, madame ! Et puis… je ne sais guère ce qui s’est produit, c’est elle qui s’est assise sur moi.
— La crois-tu assez stupide pour t’avoir enfourné ailleurs que dans son fondement ? Non, bien sûr. Allez, Blanche, cambre-toi et montre-nous tes passages.

Pas question de se dérober. À quatre pattes sur un tapis, les jupes reposant sur la taille, Blanche exposait aux regards les rondeurs délicates de sa croupe laiteuse. Elle se sentait aussi honteuse qu’anxieuse. À vrai dire également troublée par un insidieux sentiment, mais ça elle espérait que madame Desnard ne le savait pas.

D’une main la gouvernante écarta une fesse, désignant à Bethold le resserrement rose et lisse.

— Sois galant, Bethold. Viens fourrager de ta langue et convenablement enduire cet endroit de salive. Je vais chercher l’huile, ne faites rien d’autre avant mon retour.

Le garçon fasciné regardait Blanche, impudiquement exposée, qui tournait la tête par-dessus son épaule et lui lançait un regard interrogatif. Il se sentait gêné et voulait s’excuser : l’affaire ...