1. Blanche au cul charmant : un conte drolatique de Figuelune


    Datte: 22/09/2020, Catégories: h, fh, ff, fhh, ffh, grp, cérébral, Masturbation entreseins, facial, Oral Partouze / Groupe fsodo, conte, Humour Auteur: Cyrielle, Source: Revebebe

    ... chaque matin. Blanche ne voulait pas être responsable d’une nuit éternelle. Trop risqué. Plus d’arcs-en-ciel.
    
    Elle s’était donc laissée trousser par un petit marquis qui lui avait ravi sa virginité, la laissant tremblante de dépit. Madame Desnard, la gouvernante, l’avait trouvée accablée près d’une cheminée éteinte. La femme d’expérience avait froncé les sourcils et glissé sa main sous les robes froissées. Ses doigts avaient effleuré le con nouvellement défloré et la main était réapparue, souillée de semence et de sang. Madame Desnard avait froncé les sourcils. Madame Desnard savait froncer les sourcils.
    
    — Tu étais donc vierge ?
    — Oui madame !
    — Eh bien tu ne l’es plus.
    
    Madame Desnard savait dire les choses. Blanche avait sangloté. La gouvernante l’avait entourée de ses bras et mise en garde, car Madame Desnard savait mettre en garde.
    
    — Sache qu’il est dangereux de se faire prendre ainsi. Si tu te laisses engrosser, je devrai te renvoyer.
    — Mais que faire ? Si je me refuse à un noble, je serai tout également jetée à la rue ! Peut-être même fouettée, battue, rouée, martyrisée, tenaillée, égorgée, pendue, suppliciée, écorchée, brûlée, déchiquetée, ou pire !
    — Les choses n’iront pas jusque-là. Mais tu dois connaître les autres voies par lesquelles tu peux satisfaire nos maîtres. Lorsqu’ils te désireront, ce sera ta tâche de les guider dans les orifices appropriés, ceux par lesquels tu ne risques rien.
    — Et quels sont-ils ?
    — Il en existe deux. La bouche et les ...
    ... fesses.
    — L’idée de prendre une telle chose dans la bouche est répugnante ! Quant aux fesses, il est impensable d’y glisser un objet aussi gros que celui que le marquis d’Estaples a forcé entre mes jambes !
    — Il s’agissait donc du fougueux d’Estaples… Sache mon enfant qu’il n’est pas, et de loin, le plus viril des hommes de ce château. Tu vas devoir te soumettre à des membres beaucoup plus volumineux, un jour ou l’autre. Et ils passeront par tes fesses, car c’est pour toi la seule issue.
    
    Madame Desnard convoqua le jeune Bethold, un garçon d’écurie à peine plus âgé que Blanche. Sa tâche serait d’habituer la servante à ce qui semblait se présenter comme ses nouveaux devoirs. D’un physique agréable, d’une nature douce et rieuse, le garçon charma rapidement la jolie Blanche. Mais la gouvernante, qui savait mettre fin aux babillages inutiles, ne les laissa pas plaisanter longtemps.
    
    — Bas le caleçon, Bethold ! Tu n’es pas ici pour baguenauder mais pour rendre un remarquable service à cette jeune fille. Donne-lui ton vit à sucer.
    — Mais… n’est-ce pas gênant ? Nous nous découvrons à peine !
    — Eh bien faites connaissance ! Montre-nous ce que tu as entre les jambes, Bethold. Ah ! Bien ! Comme c’est beau et frais ! Déjà à demi dressé et encore plein de promesses…
    
    La gouvernante, qui savait agir, était tombée à genoux sous le regard stupéfait de Blanche et avait glissé ses mains sous les testicules du garçon. Son visage était à quelques centimètres du membre qui prenait de ...
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