Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 01
Datte: 21/09/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... Rémi en rigolant, c'est pas comme les filles au bahut, elles sont soumises.
Les hommes, à nouveau, rirent de concert. Je palissais au fur et à mesure que les jeunes avançaient vicieusement leurs pions. Théo tapotait des doigts sur son smart phone, ses regards filaient de l'appareil vers mes yeux. Nos regards se croisaient comme le matin dans la voiture. La menace était évidente : lui obéir ou voir la photo dévoilée!
- Vous devriez venir au lycée demain, mdame, j'crois que c'est la première journée des tenues obligatoires pour tous, je dis bien obligatoires!
Rémi ne lâchait plus prise. Théo renchérit avec autorité :
- Ouais, on finit à 4 heures, tu viens nous chercher.
Je n'eus pas le temps de répondre car mon mari mit fin au repas, étranger aux ordres cachés des gamins. L'invité prit congé.
- Merci pour votre invitation, mdame, à demain.
Et au moment de sortir, il ajouta :
- Je me souviens... pour la jupe... ma sœur m'a dit qu'elle en avait trouvé une rue Pierrot, au numéro 69... Oui, c'est bien ça, numéro 69.
JOUR 3 - MARDI - LA JUPE ECOSSAISE AU LYCEE
Je passais une très mauvaise nuit. En deux jours, ma vie tellement confortable était passée à un enfer dont je ne voyais ni l'issue ni comment en sortir. A cause d'une tenue un peu osée avec mes copines, à cause de gamins vicieux, à cause d'un mari trop strict, je me trouvais dans la tourmente du chantage.
Il me fallait trouver les vêtements pour 15 heures. Bien sûr, je possédais déjà des ...
... souliers noirs et un chemisier blanc mais pas de chaussettes blanches hautes ni évidemment de jupe écossaise rouge.
Dès 10 heures, je partis en ville. Il ne me fallut pas moins de trois magasins pour trouver des chaussettes blanches dans une ancienne enseigne PHILDAR. «
Ce genre de chaussettes ne se porte plus aujourd'hui
», m'avait dit le vieux vendeur. Pour la jupe, impossible d'en trouver une! Je dus me résoudre à aller à l'adresse donnée par Remi.
J'arrivai dans une petite rue du centre et après quelques pas tombai sur le numéro 69. A ma grande surprise, je vis qu'il s'agissait d'un sex-shop. Jamais de ma vie j'étais entrée dans ce genre de commerce.
J'allais renoncer, renoncer à ma vie de bourgeoise friquée, refuser ce chantage honteux quand je reçus un sms d'un numéro inconnu. J'appris plus tard qu'il s'agissait de Remi. Un mot : «
RDV 18h
sortie lycée
» et une photo de moi, toujours en voiture, la jupe troussée jusqu'au ventre, bas et culotte à l'air et en prime, mon visage rouge de honte. L'avertissement était tragiquement clair. Alors, je pris mon courage à deux mains et entrai dans le magasin.
C'était petit, peut-être 40m2. Une grande table au milieu était couverte de bouquins pornographiques, tous les murs autour étaient couverts de gadgets sous films plastiques. Je ne vis pas de vêtements. Je me résolus à demander au vendeur, un type d'environ 40 ans assis derrière son comptoir, occupé à discuter avec un client.
- Excusez-moi, monsieur, je ...