1. Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 01


    Datte: 21/09/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    Cette histoire est complètement imaginaire, de l'ordre du fantasme. Les personnages sont fictifs et majeurs. Les violences faites aux femmes sont condamnées par l'auteur. Si vous n'aimez pas les situations de contrainte, d'humiliation, voire de viol, ne lisez pas.
    
    JOUR 1 -- DIMANCHE - LE BEAU-FILS
    
    Théo demanda :
    
    - 'çoise, je finis à 3 heures demain, pas cours de maths. Tu peux venir me chercher au lycée, j'rentrerai plus vite pour mes devoirs?
    
    - Oui, d'accord.
    
    Il ajouta :
    
    - Y pense... Tu mettras tes bas comme ceux d'hier!
    
    Mon cœur eut un raté.
    
    - Mais qu'est-ce que tu veux? Je n'ai pas de bas. Je ne porte pas ça!
    
    Il répondit :
    
    - Ah, ok pas de problème. Savais pas, c'est Noémie qui m'a dit... pas grave, vais demander à papa... doit savoir lui.
    
    Il monta quelques marches pour aller dans sa chambre.
    
    - Attends Théo! Que t'a dit Noémie? Tu la connais?
    
    - T'inquiète, pas important. Papa va être content de ta lingerie avec tes copines.
    
    Il remonta encore quelques marches. Je m'affolai. S'il parlait de ça à son père, je ne saurais pas m'en expliquer. Il me qualifierait de putain, lui qui est tellement classique.
    
    - Théo, reviens un instant, s'il te plaît.
    
    Il descendit, un sourire aux lèvres.
    
    - Oui 'çoise, tu veux dire quelque chose?
    
    - C'est à dire... ne dis rien à ton père. C'est un jeu avec mes copines, un pari. Tu sais, c'est exceptionnel. Inutile de lui en parler.
    
    - Ben quand même! J'dirai à papa que c'était pour rire, ...
    ... comprendra.
    
    Il m'énervait avec ses phrases sans sujet comme s'il avait besoin de gagner du temps. Mais ce n'était pas le moment de le rabrouer.
    
    - Non, s'il te plaît, tu sais comment est ton père. Gardons ça entre nous. Fais-moi plaisir!
    
    Il prit un air soucieux :
    
    - Ouais, moi j'veux bien mais mon pote Rémi va pas être d'accord.
    
    - Comment ça ton pote? C'est qui celui-là?
    
    - Tu le connais, 'çoise. Son père travaille dans l'usine de papa. J'espère qu'il ne lui dira rien. Zut comment faire?
    
    Il réfléchit.
    
    - Faut que tu viennes en tenue demain. Rémi sera content et on n'en parlera plus. Bon, j'suis crevé. Dors bien 'çoise et n'oublie pas : demain... en tenue!
    
    J'avais 43 ans et j'étais pacsée depuis deux ans avec Philippe, un chef d'entreprise de vingt ans mon ainé. Ce n'était pas vraiment une relation amoureuse mais plutôt un arrangement, même s'il n'avait jamais été clairement exprimé. En contrepartie des revenus conséquents de Philippe, je lui servais d'objet de décoration. Il faut dire que j'avais la chance d'être bien foutue, comme disent les hommes. Brune de 1.65 pour 53 kg, j'avais une poitrine honorable de 85C. J'avais aussi la chance d'avoir été bien élevée, strictement élevée, et cette éducation m'avait servi à être à la hauteur de la bourgeoisie locale.
    
    Ma malchance était que Philippe avait un fils Théo. Un tout-boutonneux de 18 ans, fainéant, prétentieux, mal élevé. Il ne m'aimait pas, la cause était simple : j'avis pris la place de sa mère, décédée. ...
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