1. Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 01


    Datte: 21/09/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... jambe et remonta ma jupe dans un geste quasiment anodin. Jarretelles et jarretières furent complètement découvertes. Mon regard croisa celui de Rémi qui manifesta un grand plaisir. Je me couvris immédiatement.
    
    - 'çoise, Rémi vient à la maison. On a des devoirs à faire.
    
    Il fit le tour du véhicule pour monter à côté de moi ; l'autre prit place à l'arrière. Chemin faisant, Théo discutait avec lui. A un freinage un peu brusque, il dit tout en posant sa main sur ma jambe :
    
    - Fais gaffe 'çoise, tu vas nous planter! t'as vu, elle conduit comme une conne!
    
    Dans un geste de colère, sa main quitta ma jambe en remontant une nouvelle fois ma jupe jusqu'au ventre. Comme j'étais occupée par un virage, je ne pus la redescendre immédiatement et au moment où je voulus le faire, Théo me l'interdit par ce caractéristique claquement de langue : tssii,tssii, tssii. C'est alors que je vis Rémi prendre des photos de mes jambes découvertes avec son smart phone. Je n'osai pas l'houspiller de crainte de faire pire que mieux. En arrivant chez nous, les garçons partirent dans la chambre pour travailler.
    
    JOUR 2 -- LUNDI - LA JUPE ECOSSAISE
    
    A 17h, ils descendirent prendre un goûter. Théo ordonna :
    
    - Beurre nos tartines 'çoise et reste là pour nous servir!
    
    Bien que choquée, j'obéis, n'osant pas m'opposer devant un autre garçon. Ils prirent place à la table de la cuisine, discutant de choses et d'autres. Alors que j'allais m'assoir à leur côté pendant qu'ils mangeaient, Théo ...
    ... poursuivit ses invectives :
    
    - Qui t'a autorisée à t'assoir! Tu attends debout à deux mètres! Faut tout lui dire à cette meuf.
    
    Rémi, bouche ouverte de surprise, rigola tandis que l'autre pointait du doigt ma place devant eux. Je faillis hurler de rage mais par crainte de l'avenir, je me résignai à m'y placer, debout, bras croisés, rouge de honte. Après 15 minutes de ce régime ridicule, ils repartirent à leurs devoirs alors que je tremblais encore de retenue.
    
    La suite de la prise en mains eut lieu le soir, en présence de mon mari. Théo avait invité Rémi à manger et c'est donc trois hommes que je servais. Commença alors une discussion pleine de sous-entendus. Ce fut Théo qui lança le débat.
    
    - Vous savez, dit-il, que le proviseur vient d'obliger le port de l'uniforme au lycée. Je vous assure, c'est déjà obligatoire, ça commence demain.
    
    Il me regarda droit dans les yeux. Rémi plissa les siens, interrogatifs.
    
    - Bonne nouvelle, déclara mon mari, toujours favorable aux mesures directives. Ca fera du bien à cette jeunesse dévoyée. Dis-nous, quelle tenue est prévue?
    
    - Pour les garçons, continua Théo, c'est un pull classique et une veste bleue. Pour les filles, c'est prévu une jupe écossaise rouge, un chemisier blanc, des chaussettes blanches et des souliers... noirs, je crois.
    
    - Fort bien, répondit mon mari. Voila bien du classique.
    
    Je pensai qu'il n'imaginait pas vraiment dans quelle mesure les filles seraient osées ainsi vêtues. Nous n'étions pas au Japon.
    
    - ...
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