1. L'ultime communion


    Datte: 21/09/2020, Catégories: fhh, ffh, nympho, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe nonéro, Humour sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... normalement ! Le commun des mortels est occupé à essayer de chasser de l’extra-terrestre baisouillard et plusieurs milliards de gens me haïssent probablement de toutes leurs forces.
    
    Elle garda un court instant le silence, puis me répondit avec sincérité :
    
    — Mais Gufti, vous devriez être heureux.
    — Putain, Juliette, mais tu comprends que dalle ! Que vont devenir tous ces gens, là ? C’est le merdier absolu sur toute la Terre ! Ça peut pas continuer comme ça !
    
    Elle réfléchit de nouveau un court instant avant de proclamer, d’une voix toutefois hésitante :
    
    — Vous êtes majoritairement évolués, et nous sommes un peuple pacifique. Nos deux espèces s’habitueront probablement à cohabiter.
    — Mais tu rigoles ou quoi ! Si encore vous vous étiez déguisés en lapin pour partouzer, à la rigueur ! Mais là, ça va forcément dégénérer !
    
    Elle me regarda étrangement quelques secondes, puis sans un mot, se dirigea de nouveau vers la chambre, d’où montaient toujours de vagues gémissements. Je la suivis sans comprendre ; elle monta sur le lit à côté du couple toujours en soixante-neuf. Elle commença par caresser doucement les fesses et la fente d’Éloïse, glissant des doigts le long de la langue de mon ami jusque dans la vulve trempée. Mais elle les ressortit bientôt pour les enfoncer presque sans ménagement dans l’étage supérieur voisin, tandis que Raoul se remettait à lécher avec furie le sexe dégoulinant, le nez maintenant collé à la main de Juliette qui s’agitait au-dessus de ...
    ... lui.
    
    En tout cas, cela dut leur faire de l’effet à tous les deux. Raoul ne tarda pas à se crisper dans une sorte de mugissement. Éloïse continua de le pomper un très court instant, en gémissant toujours elle aussi sous les assauts que lui donnait encore Juliette, mais elle jouit à son tour et explosa soudain en une myriade de particules tourbillonnantes. Raoul se saisit immédiatement de son sexe pour accompagner d’un mouvement saccadé ses dernières expulsions, qui retombèrent bêtement sur son ventre. Juliette se redressa, satisfaite et me regarda, benoîte. Éloïse se reforma enfin à côté d’eux.
    
    — Ah bah putain c’était bon ! fit aimablement Raoul, se relevant.
    
    Je l’observai ; il paraissait tout ce qu’il y a de plus content. Il ramassa ses fringues et parut dès lors attendre ma bénédiction. Mais Juliette s’adressa alors à sa congénère :
    
    — Gufti suggère que nous pourrions copuler sous la forme de lapins.
    — Mais non ! entrepris-je avec découragement, je disais juste que…
    
    Mais je n’eus pas le temps d’achever ma phrase. Elles se changèrent presque instantanément toutes deux en lapin. Et sur le lit trônaient maintenant sous nos yeux ébahis deux minables petits lapins roux avec des oreilles gigantesques et assis en tailleur, et dont l’un faisait déjà des efforts inconcevables pour regarder entre ses pattes arrière.
    
    Raoul était plié en deux. Je posai mes doigts sur mes tempes, fermai les yeux et soupirai à plusieurs reprises pour me calmer. Et quand je les rouvris, ce fut ...
«1...345...9»