Un soir de juin...
Datte: 21/09/2020,
Catégories:
fhh,
piscine,
fête,
Masturbation
intermast,
Oral
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
prememois,
initfh,
occasion,
couple+h,
Auteur: Audray, Source: Revebebe
... l’impression que sa bite grossissait encore… C’est finalement de façon goulue que je l’ai prise en bouche et commencé, en entendant les vagues, à aller de plus en plus profond, de plus en plus vite. Je sentais une excitation folle, je mouillais, ma main serrait fort, le branlait, j’avais cette envie de le faire jouir, que cela dure encore, j’accélérais encore et mon autre main est partie me fouiller.
Moi qui ne me touchais qu’un peu dans mon bain, ou m’arrosait avec la douchette, là je ne me reconnaissais pas. Je le pompais avec ardeur tandis que mes doigts s’enfonçaient en cadence, la même que mes allers et retours sur sa queue. À ce moment, je sentis venir mon plaisir fort, si fort que je voulus que lui jouisse aussi… tout s’est encore accéléré et d’un coup il a crié et joui dans ma bouche. J’ai adoré, j’étais au comble de l’excitation, de la jouissance à ce moment-là. Telle fut ma première pipe et souvent j’ai eu ensuite envie de retrouver cela, cette façon forte presque sauvage de jouir tout en étant envahie par une queue… Avec lui ce fut la dernière car il me fit passer pour la fille facile, « à essayer à tout prix ».
Mon second amant me déflora. C’était un ami de mon père, j’avais 19 ans, lui 42. C’était le jour de mon anniversaire. Il était le mari de la secrétaire de mon père. Si je la connaissais bien et l’appréciais parce que sympa, ravissante, drôle, lui n’était jamais venu. À vrai dire, mon père ne l’avait jamais invité, disant ne pas l’aimer beaucoup… ...
... Peut-être que la relation entre elle et mon père n’était-elle pas que professionnelle. Mais cela est une autre histoire…
Donc ce jour-là Alain accompagnait Régine sa femme. Après les mots de bienvenue, j’ai vite capté son regard. Il me déshabillait. Mes seins, assez gros il faut le dire, bien plantés haut, semblaient l’intéresser au plus haut point, d’autant que le décolleté large les mettait d’autant plus en valeur que cette robe sans bretelle je la portais sans soutien-gorge. Ce regard, de ce bel homme, car il était beau comme Jean Marais à qui il ressemblait, m’amusa dans un premier temps… Je l’aperçus dans une glace me matant les fesses alors que je servais l’apéritif. Cela m’amusa, puis finalement m’excita !
Après, j’avoue en avoir joué. Je lui propose des cacahuètes en me baissant un peu plus que de raison, lui voit. En m’asseyant je laisse ma jupe courte bien découvrir mes cuisses fuselées de fille grande (1,76 m) puis un peu plus tard, j’écarte mes cuisses sous prétexte d’attraper un livre derrière ma chaise. Mon père voyant Alain ne cesser de me regarder semble gêné, puis lui lance une vanne du genre « n’use pas trop ma fille à la regarder » à laquelle Roland répond par un « il serait dommage de ne pas admirer sa beauté ».
Je n’ai pas été gênée de continuer à jouer l’allumeuse dès que possible. Le repas débuta, lui à un bout de table, moi à l’autre. Nos regards étaient fréquents, un courant passait entre nous. D’un coup, je me mis à me demander comment pouvait ...