1. Un soir de juin...


    Datte: 21/09/2020, Catégories: fhh, piscine, fête, Masturbation intermast, Oral Partouze / Groupe fdanus, fsodo, prememois, initfh, occasion, couple+h, Auteur: Audray, Source: Revebebe

    Tout a commencé un soir de juin. Chaud. Très chaud même, et nous allions avec Thomas, mon chéri, à une soirée où, musicien, il jouait avec son orchestre. Le genre qui ne me plaisait habituellement pas, avec 800 personnes participant à ce banquet, repas, danse. Et puis les enfants étaient chez mes parents.
    
    — C’est uniquement pour te faire plaisir, dis-je à Tom.
    
    J’y suis allée. Au départ, j’aurais préféré rester tranquillement devant la télé… Et pourtant ce soir-là ma vie, notre vie, allait évoluer. Avec Tom, nous nous connaissions depuis vingt ans et, comme beaucoup de couples entrant dans la quarantaine, à la passion avait succédé une belle tendresse, une complicité, un partage certainement renforcé par nos deux enfants, par notre réussite professionnelle. « Tout va bien, on se plaît toujours », répondais-je toujours quand entre filles nous discutions, tranquilles autour d’un thé, de nos bonshommes et de leur savoir-faire.
    
    Pourtant, parfois je me disais que j’aurais aimé retrouver nos élans, nos coups de folie de jeunesse qui nous voyaient faire l’amour dès que nous étions ensemble, où nous ne prenions jamais un ascenseur par exemple sans nous toucher, sans que ma main se porte sur son sexe dès qu’il me prenait les seins. Pas un repas au restaurant, sans que nos discussions ne finissent sur nos histoires de sexe, sur ce qui allait suivre dès notre retour, sur nos envies. En parler me faisait mouiller à un point… que j’ôtais souvent ma culotte aux toilettes pour la ...
    ... lui offrir en revenant à la table. La première fois, il a rougi, puis souvent ensuite il la reniflait en me regardant ! Je coulais.
    
    Combien de fois, en voiture, nous nous sommes arrêtés pour qu’en bouche je le prenne, que ses doigts s’insinuent dans ma fente d’amour ou que, sur les sièges arrière, il me prenne en levrette, position que j’adore. Un paysan, un jour nous a surpris. Je l’ai vu arriver, pour autant je n’ai en rien freiné l’ardeur de Tom, au contraire j’ai d’autant plus joui quand j’ai vu l’autre empoigner sa queue et se branler en me regardant fixement.
    
    Ce ne sont là qu’anecdotes, il y eut bien d’autres faits, de baises dans les maïs, de caresses sur des plages, dans des trains et une fois une pipe une nuit dans un avion au milieu de dormeurs, quoique je ne sois pas si sûre, une femme me clignant de l’œil à l’arrivée.
    
    Il ne faut cependant pas croire que j’avais une expérience très grande avant de rencontrer Tom. Quatre amants en tout et pour tout, en ayant commencé à 17 ans. C’est dire ! Mon premier pas, si je puis dire, je l’ai fait avec un copain de classe. En terminale à Cabourg, il me fit après quelques jours de flirt, jouer cette scène d’un livre de Mandiargues, une pipe au rythme des vagues frappant les rochers. Un peu peur quand il s’est déboutonné ! Il bandait déjà et je crois avoir trouvé assez vite la façon de faire avec de petits coups de langue tout en prenant ses bourses à pleine mains. Puis la langue glisse doucement. Quoique grosse, j’avais ...
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