1. Une soirée avec ma copine et ses amis (4)


    Datte: 20/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Loco2016, Source: Xstory

    ... amie.
    
    Elles me sucent toutes les deux, je gémis de bonheur. Je caresse tendrement leurs cheveux et leurs visages en les regardant. C’est très différent de tout à l’heure. Elles ne le font plus pour m’exciter, me torturer ou pour leur propre plaisir, mais uniquement pour le mien, pour me remercier d’avoir pris soin d’elles. Leur dévotion me touche.
    
    — Vas-y Ryan, me dit la blonde, éjacule quand tu veux.
    
    — Oui Ryan, enchérit la rousse, ne te retient pas.
    
    — Comment veux-tu te finir ? Tu veux que l’un d’entre nous avale ? Ou jouir sur nos visages.
    
    — Je… sur le visage, fais-je.
    
    — Le petit coquin, commente Marina.
    
    Elles continuent de s’occuper de ma bite. Elles le lèchent, le pompent, c’est divin de sentir deux langues s’appliquer sur votre queue. Si elles veulent vraiment que je jouisse, je vais le faire. De toute façon, je ne tiens plus. J’ai deux splendides femelles qui jouent avec mon bâton d’amour uniquement dans le but de m’achever, ce serait pêcher de refuser. Elles me gobent les boules dans l’espoir de leur faire cracher leurs jus. Elles le veulent, je le sens, plus pour ma bite, objet de tous leurs désirs, que pour moi j’ai l’impression.
    
    — Ooh, les filles, c’est trop bon.
    
    — Tu aimes ? me demande Holly.
    
    — J’adore.
    
    — Tu vas jouir ? s’enquiert à son tour Marina.
    
    — Oui…
    
    — Vas-y, finis-toi.
    
    Je les laisse continuer leur pipe encore une minute, puis je prends littéralement les choses en main. Surexcité, à l’agonie, je me masturbe comme un ...
    ... fou devant leur nez. Elles pressent leurs visages l’un contre l’autre en sortant leurs langues, comme deux petites chattes impatientes qu’on leur donne du lait. Je grogne lorsque je me sens partir, j’ai atteint le point de non-retour. Mes valves s’ouvrent, mon jus grimpe, j’ai la tête qui tourne, j’ai l’impression que cela dure une éternité. Je pousse un hurlement lorsqu’expulse enfin ma première giclée. Elle atterrit sur la figure d’Holly, je pointe mon dard afin que la suivante atteigne Marina, elle est aussi copieuse que la précédente. J’éjacule tout ce que j’ai, c’est l’orgasme le plus puissant que je n’ai jamais eu. Je les arrose de sperme, elles avalent ce que je leur mets dans la bouche. Une partie coule sur leurs gros seins. Je suis au paradis. Lorsque je me suis entièrement vidé, j’entends soudainement une voix familière indignée provenant de derrière moi :
    
    — Ryan ?!
    
    **
    
    Mes deux amants me prennent encore et encore. De la queue, de la queue, il me faut de la queue. Je ne me suis jamais senti aussi… pute. J’ai honte, mais c’est tellement bon aussi. Ils ne me font pas l’amour, ils me baisent, ils me défoncent la chatte et le cul en même temps. Lorsqu’ils me font jouir encore une fois, je leur demande grâce.
    
    — Je crois qu’elle a eu son compte, mec, fait Manu.
    
    — Quoi ? Mais Zoé, nous n’avons pas encore joui nous…
    
    — Je… je vais vous aider, dis-je essoufflée par cette folle chevauchée.
    
    — Comment ?
    
    — Je vais… vous sucer.
    
    — Tu veux nous faire jouir ...