Présentation - Histoires de Sexe

Présentation

... ne se caresse que rarement, et que rien, pas même le moindre petit doigt n’a pénétrée, elle veut que sa cousine l’introduise.

Alors, quand Caroline lui écarte tendrement les jambes et vient déposer de doux bisous sur son clito, quand Caro fait glisser ses doigts dans son tendre sillon, elle commence à gémir. Léchée par sa cousine, So sent soudain le majeur de celle-ci se présenter à l’entrée de sa grotte. Elle la veut et elle agite son bassin pour bien sentir cette intrusion en elle. Quel bonheur !

Se caressant les seins à pleines mains, So vient, sous les coups de langues de sa cousine et grâce à ce doigt agile, d’avoir du plaisir comme jamais.

Les deux cousines se regardent un peu gênées. Caro, toujours plus délurée que sa cousine lui fait un clin d’œil.

— Ça t’a plu alors ?
— Oh oui !
— Cool !
— Tu sais Caro, je… enfin je suis vierge et…
— Moi aussi !
— Toi ?
— Ben ouais !
— Non ? Toi ? Malgré tous tes mecs ?
— Ben oui, tu sais, je suis un peu grande gueule mais c’est tout quoi !
— T’es gouine ?
— Non je… enfin t’es la première nana que… et toi ?
— Moi pareil !
— Ha !

Après un nouveau silence, Caroline se lève et se rhabille sous les yeux de sa cousine qui s’est cachée sous sa couette.

— Merci !

Caro se retourne et vient embrasser sa cousine à pleine bouche ; baiser fougueux et amplement partagé.

— De rien ! À charge de revanche !
— Avec plaisir !

*****

Quand Isabelle est rentrée, elle a trouvé les trois filles endormies dans les ...

... bains de soleil. Après une longue douche revigorante, elle a préparé le repas. Ce soir, elle compte bien rejoindre Seb et espère que les filles ont bien prévu un truc entre elles pour ne pas avoir à se justifier.

Salade de tomates, taboulé et jambon blanc, tout le monde peut enfin passer à table. Les filles sont réveillées, elles ont mis le couvert sur la table du salon de jardin, et tout le monde peut donc s’installer. Autour de la table, les quatre femmes sont heureuses et épanouies ; elles viennent toutes de faire l’amour !

Assise en bout de table, Isabelle se sent bien. Elle a quarante-deux ans. Brune, 1m72, elle sait que ses longues jambes et son ventre plat, que ses footings réguliers entretiennent, sont des atouts de charmes et qu’ils plaisent. Elle le sait d’autant plus ce soir que Sébastien lui a montré à quel point il la trouvait belle. Ce bel étalon, à peine plus vieux que ses filles, lui a aussi montré à quel point ses seins valaient le coup d’être mis en avant. Elle avait presque oublié depuis le départ de Marc, le père des filles, elle avait presque oublié à quel point elle était fière de son 85 C avant.

Assise à sa droite, Marjorie, quant à elle, soupire encore d’aise d’avoir encore réalisé ce fantasme qui au fond n’en est plus vraiment un ; elle a fait jouir un homme dans une langue inconnue. Elle sait se servir de son corps à merveille. Avec son mètre 65, le décolleté qui plonge sur son 90 C, ses lunettes et son visage fripon, elle sait qu’elle est ...