1. Présentation


    Datte: 19/09/2020, Catégories: f, ff, fh, jeunes, vacances, Auteur: Ecrivain Libertin, Source: Revebebe

    ... anges ; allongé sur le dos, il sent cette femme splendide s’empaler sur lui et la voit se caresser sous ses yeux ébahis. Il sait déjà que jamais il n’oubliera cette scène ; il sait aussi qu’il ne pourra pas tenir longtemps à ce rythme… et soudain, Isa rouvre les yeux, s’agite plus rapidement. Elle gémit de plus en plus fort :
    
    — Oui, Vas-y ! Bouge en moi ! Oui ! Oui ! Viens ! Oui, je te veux profondément Oui, OOOOOOOuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii !
    
    Elle est déchaînée, il sent sa sève monter en lui, et soudain… il jouit et hurle, masquant à peine ses cris à elle !
    
    Leur jouissance a été totale et Isa s’effondre sur le torse de son amant. Leurs respirations trahissent l’effort physique récent mais le bien-être qui les habite les entraîne déjà vers le sommeil réparateur.
    
    *****
    
    Déjà une heure qu’Isa est partie à la plage, Caroline et Solen somnolent dans leur transat tandis que Marjorie et Kristophe se bécotent dans l’herbe. De toute façon, comme se dit Marjorie, vu qu’on parle pas la même langue, au moins là, on se comprend.
    
    D’ailleurs, à 21 ans, Marjorie adore cette situation et tous les étés elle choisit un type ne parlant pas français. Tout simplement depuis qu’elle est sortie pour la première fois avec un étranger pendant l’été ; ce bel italien qui, ne parlant pas la langue, lui a fait découvrir des façons beaucoup plus agréables d’utiliser cet appendice buccal autrement que pour formuler des mots. Ce fut l’année donc de ses premiers vrais baisers, et surtout, ...
    ... l’année où pour la première fois elle sentit un homme entrer en elle. Ce fut pour elle une sensation si agréable de sentir cet homme dont elle ne connaissait que le prénom et dont elle ne comprenait rien quand il parlait ; ce fut si agréable de le sentir en elle et de partager avec lui tant de choses sans rien dire que, depuis, aucun francophone n’avait eu la possibilité d’approcher ce corps pourtant si désirable.
    
    Il lui a fallu trois jours pour réussir à emballer Kristophe mais depuis maintenant deux heures qu’ils se dévorent mutuellement la bouche et le cou et que leurs mains ont tout découvert de leurs dos et de leurs poitrines respectives, elle se dit que le membre tendu qu’elle sent, serré entre leurs deux ventres serait bien mieux au fond d’elle.
    
    Sa sœur et sa cousine semblent endormies, alors c’est le moment de le faire se lever, ce Kristophe, et de voir si son maillot de bain arrive encore à le contenir… Effectivement, le caleçon a pris une forme qui ne peut tromper personne sur l’état de son propriétaire. Marjorie se lève et entraîne son bel Hollandais vers la tente qui lui sert de chambre au pied du mobil-home.
    
    *****
    
    Caroline se réveille doucement ; elle se sent excitée ; comment se fait-il qu’une petite sieste au soleil ait pu la mettre dans cet état ? Elle se sent trempée de désir et a une envie folle de se caresser. Émergeant de son sommeil, elle perçoit enfin distinctement les halètements qui proviennent de la tente de sa sœur. Voilà donc la source de ...
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