Une nouvelle facette de notre relation
Datte: 19/04/2018,
Catégories:
fh,
copains,
Oral
fdanus,
fsodo,
jeu,
confession,
tarifé,
Auteur: Maxime, Source: Revebebe
... demander de m’excuser, et que j’ai dépassé les limites que l’on s’imposait implicitement. Je le réécris plusieurs fois, le relis, essaye de voir comment elle réagira. Je vais appuyer sur Envoyer, lorsque je reçois un message. Il vient de Stéphanie.
Je conserve mon message en brouillon. Aller la chercher, mais pour faire quoi ? Se faire un repas ? Discuter de ce qui a été dit ? Ou juste trouver un coin tranquille et le faire rapidement contre un mur ? Que veut-elle faire passer comme message, et surtout comment vais-je réussir à travailler cet après-midi. Je pourrais lui envoyer mon message d’excuse et tout annuler. Elle ne le prendrait sûrement pas mal. Le fait d’accepter ma demande la dégoûte peut-être. Ou l’excite. Non, ça n’excite personne de devoir donner son corps contre de l’argent. Sauf si c’est par amour ? Mais alors elle pourrait juste quitter son homme et venir avec moi. Aaaaargh, je suis perdu. Je la veux, c’est certain, mais elle est prise. Et n’avoir que son corps n’est pas une option. Mais il semble que c’est la seule qu’elle m’offre. Je mets un casque sur les oreilles, mets la musique à fond, et me concentre sur mon boulot. Je verrai bien comment agir quand je la verrai.
ooooo00000ooooo
J’ai réussi à produire quelques trucs, et c’est l’heure de rejoindre Stéphanie. Je tremble un peu, je ne sais absolument pas quoi lui dire. Je vais chercher la voiture au parking, m’installe, et démarre pour aller la chercher à son boulot. Arrivé devant son bâtiment, ...
... il est pile 19 h, elle sort et me rejoint. J’ai envie d’ouvrir la fenêtre et de dire en rigolant :Bonjour, c’est combien ? Mais je reste suffisamment sensé pour ne pas faire une blague aussi conne.
Elle s’assoit sur le siège passager, met sa ceinture, et rentre une adresse dans le GPS, le tout sans me regarder ni parler. Je passe la première, et on est partis. Je mets Rires et Chansons pour détendre l’atmosphère, elle change de radio pour mettre du classique. On roule une bonne demi-heure, pas trop de bouchons à cette heure-là, et on arrive devant un grand immeuble, pas neuf, mais qui reste en bon état. Pas de galériens qui traînent, personne dans les cages d’escaliers. Elle sort de la voiture, et commence à se diriger vers une des entrées. Je sors rapidement, elle ne m’a toujours rien dit, ni jeté un regard, et elle a un pas assez rapide. Je cours sur quatre ou cinq mètres pour la rattraper, mais je reste silencieux.
On monte au dernier étage, elle ouvre la porte de l’appartement sur la gauche. On rentre. L’appartement n’est pas très grand, une entrée lumineuse de quatre mètres de long sur deux mètres de large. À gauche, la salle de bain et les toilettes, juste après la cuisine avec un bar, donnant sur un salon/chambre sur la droite, dans laquelle le canapé-lit n’a pas été rangé. Elle pose son manteau sur un porte-manteau, retire ses chaussures, se retrouve pieds nus et se place en face de moi. Il lui reste un jean taille basse qui met bien en valeur ses fesses, et un ...