1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1059)


    Datte: 19/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... remplie, fistée, que je sentis ses bouts de doigts titiller le nez de mon col utérin. Je me connais physiologiquement parfaitement et lui dis doucement à l’oreille :
    
    - Maî… Maître, pas là, s’il vous plait, je me connais, je ne pourrai pas me retenir du tout.
    
    Il me répondit aussi doucement que moi en me mordillant les lobes d’oreilles :
    
    - Je sais petite salope, je sais, mais je veux voir jusqu’où tu peux aller…
    
    Et ce disant, sa danse endiablée reprit de plus belle. Toujours collé à moi, sa main droite au fond de mon vagin, immobile, tandis que ses doigts travaillent mon col utérin, son pouce titillant mon clitoris en des massages appuyés, sa main gauche parcourait la surface de mon fessier, ses doigts s’insinuaient dans ma raie culière, l’index s’aventurant sur ma rosette qui se serra en réflexe, puis s’ouvrit se laissant envahir par un d’abord, puis deux doigts profondément enfoncés et qui débutaient une danse endiablée. Mes deux orifices comblés, travaillée, je n’en pouvais plus, ma vue, plus que brouillée diminuait encore plus, je vacillais sur mes jambes, les tremblements accentués par les envies fantastiques causées aussi par la crème aphrodisiaque qui faisaient vibrer mes entrailles en une symphonie des sens, conduite par un chef d’orchestre Maestro, que dis-je virtuose qui arrivait à tirer de mon corps, la plus belle des mélopées comme un violoniste virtuose de son stradivarius… Je couinais comme la salope que je devenais :
    
    - Maî… Maî… oh ! Maî… tre, ...
    ... Vous… savez… si bien… me faire… don…donner
    
    - Quoi donc petite chienne, quoi donc ?
    
    - Le Mei… Meilleur de moi-même, Maître.
    
    Je ne tenais plus sur mes jambes et s’en rendant compte, quelques coups de poignets plus vigoureux plus tard, j’explosais littéralement en vol, urinant sur la main sacrée du Maître, médusé. J’avais abandonné toute résistance, y compris celle de mon sphincter vésical. Je ne m’en rendais même pas compte, tant j’étais ailleurs, dans un autre monde… Le Maître retira les doigts de ma chatte englués de cyprine qu’il me tendit pour les nettoyer. Je le fis avec une dévotion sans pareille tout en tremblant encore et alors qu’il avait gardé les doigts de la main gauche bien profondément enfoncés dans mon anus. La main droite nettoyée, arrive le tour de la main gauche. C’est à ce moment-là que je me rendis compte de la mare se trouvant entre mes jambes. Avec un bon sourire mais fermement cependant, le Maître me dit :
    
    - A genoux petite salope, lèche ta pisse complètement… Tu as souillé mon beau parquet ancestral. Oui sache que le Marquis de Sade en personne a foulé ce parquet dans les années 1784-1785 (voir les Origines de la Saga)… Alors nettoie ce parquet ciré avec un profond respect, salope qui salope…
    
    Confuse, honteuse, je me mis à genoux puis à quatre pattes, et commençai de nettoyer le sol avec ma langue… C’est à ce moment précis qu’Il vint derrière moi et m’encula sans ménagement m’ordonnant tout à la fois de poursuivre mon nettoyage tout en ...
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